Pousser les questions ?
le centralisme autoritaire ?
- Peut-être plus grave encore que la question des masques,
les Français (’petits’ ou ’grands’) ne peuvent pas éviter de constater une autre incohérence évidente :
l’échec du « partenariat’ entre la France et la Chine autour du P4 de Wuhan !
Car, le terme de »guerre sanitaire« , proclamé par le Chef de l’état lui-même ne saurait être raillé
et censuré, assimilé à de la »théorie du complot« !
Qu’est-ce qu’une »guerre sanitaire« ? Sans plus de précision, le Français à qui rien n’est précisé ne serait-il pas en droit (voire en devoir !) de se douter qu’une telle guerre peut supposer des munitions sous
forme de masques ... mais aussi une artillerie sous forme de P4 ?
Lorsque nos »représentants« ou incarneurs établissent de leur propre chef des »partenariats« , les Français de sont-ils pas en droit et en devoir d’exiger des bilans réguliers ?
Est-il normal que nous nous soyons habitués ( cf La Boetie) à nous faire balader d’une campagne électorale à l’autre sur ce genre de bilans (sous prétexte qu’il faudrait aller, voIre »marcher« , de l’avant ?!)
voir ce lien : https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/revelations-l-histoire-secrete-du-laboratoire-p4-de-wuhan-vendu-par-la-france-a-la-chine_707425
dont les passages :
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Ces craintes, soulevées par les services de renseignement français et américains, sont étayées par les soupçons très forts autour de l’existence d’un programme biologique offensif chinois. Ce dernier se traduirait notamment par le contrôle par l’Armée populaire de libération (APL) de tous les laboratoires P3 chinois (ils traitent des agents pathogènes moins dangereux que les P4) et par l’absence de transparence de la Chine sur son dispositif interne de lutte contre la prolifération biologique. A cela s’ajoute certaines obligations que doit respecter la France qui a ratifié la convention d’interdiction des armes biologiques de 1972. Paris ne veut alors en aucun cas être accusé d’avoir participé au développement de telles capacités.
La célérité avec laquelle l’exécutif ficelle le texte provoque alors une certaine crispation dans le camp français. »Il y a eu un accord politique, de chef d’État à chef d’État, mais derrière l’administration a freiné des quatre fers",
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