@JPCiron
Je ne vois pas ce qu’une « autonomie de jugement » vient faire là-dedans. Les juges ont menti et ont motivé leur décision par leurs mensonges (je ne dis que le principal mensonge). Ce ne sont pas des juges, ce sont des assassins. La haine, c’est de se trouver devant eux et de ne pas exister comme être humain.
François Sottet a voulu un rapport oral de la psychologue (qui a crié contre moi chaque fois que je lui disais quelque chose des faits et gestes de mon ex épouse, faits et gestes dont elle aurait pu vérifier l’exactitude, ou la fausseté et les degrés d’arrangements et d’améliorations que j’aurais pu apporter à un fait réel). ça, c’est la haine. Je ne peux rien lui dire, ce que fait la mère de mes enfants la met en colère, contre moi et non contre elle. En admettant qu’une psy puisse se mettre en colère.
Donc, François Sottet nous réunit pour entendre le rapport oral de cette psychologue. Un moment, je demande la parole. Sottet me l’accorde. Je lui dis : « mon épouse demande la garde des enfants au tribunal, mais à moi, elle trouve toujours que je fais rien et qu’elle est bien malheureuse d’être avec un macho » . Sottet souffle, hausse les épaules, bouge sur son siège, montre son énervement. Pour moi, l’intérêt de l’enfant, ses obligations de juge était de se tourner vers mon ex épouse et de lui demander si ce que je disais était vrai. Cela l’aurait informé (des informations, il en avait beaucoup, il les a jetés d’entrée de jeu, en considérant faussement que le divorce commençait au moment où il avait la charge du dossier).
Que vient faire une « autonomie de jugement » ?
Les cris de la psychologue, je les entends encore. Le geste de refus de Sottet, je le vois encore.
La haine. Ils m’ont écrasé de haine.
Et maintenant, l’Etat veut punir la haine !