@t2lt
Merci
pour ton
lien,. Grâce au traducteur Google (une petite fenêtre en haut
à droite ) je commence a lire l’article
La perle de
l’article est dans cette rubrique !
Considérations
de sécurité ( a gauche dans le menu déroulant )
Les
études examinées ici montrent que la chloroquine /
hydroxychloroquine a des effets antiviraux in vitro et des propriétés
anti-inflammatoires qui peuvent être d’intérêt dans les infections
virales associées à l’inflammation et / ou à l’activation
immunitaire. Avant d’analyser les effets potentiels d’un
médicament sur une maladie, des critères de sécurité doivent être
respectés pour estimer le rapport bénéfice / risque.
La
chloroquine / hydroxychloroquie a un profil de toxicité bien
étudié. L’utilisation d’un demi-siècle de ce médicament dans
le traitement du paludisme démontre la sécurité de
l’administration aiguë de chloroquine à l’homme. L’utilisation
de chloroquine / hydroxychloroquine dans les maladies rhumatismales
et pour la prophylaxie antipaludique a montré une faible incidence
d’événements indésirables lors de l’administration chronique de ce
médicament pendant des périodes allant jusqu’à quelques
années. Dans ces cas, l’effet toxique le plus grave est une
rétinopathie maculaire, qui dépend de la dose cumulée plutôt que
de la dose quotidienne, et des dommages permanents peuvent être
évités grâce à une surveillance visuelle régulière pendant le
traitement.
27
, 28
29
Une
étude récente 30
( ces chiffres sont de liens qui renvoient à des pages spécifiques
)
a
fourni des résultats encourageants sur l’innocuité d’une posologie
élevée du médicament (jusqu’à 500 mg de chloroquine base par
jour) même pendant la grossesse.
Nous
concluons que l’administration de chloroquine / hydroxychloroquine
présente une toxicité limitée et bien évitable et peut donc
entraîner un faible rapport bénéfice / risque au moins lorsqu’elle
est utilisée dans des conditions mettant la vie en danger.
Désormais,
nous discuterons de l’utilité potentielle de cet ancien médicament
dans le traitement de deux maladies infectieuses menaçant gravement
la santé publique à l’ère de la mondialisation, du SIDA et du
syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Ces maladies sont à
la fois causées par des virus à ARN enveloppé et partagent
certaines manifestations cliniques qui sont susceptibles d’être
médiées par des réactions immunitaires de l’hôte.
Reste
à savoir si nos « merdias » ( aux ordres ) vont relayer
cette info avec autant de tintamarre pour démolir les différents
communiqués du Pr. Didier Raoult
@+
P@py