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Commentaire de Géronimo howakhan

sur François Ruffin, en avant !


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Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 28 mai 2020 13:04

ruffin c’est écrit sur lui..c’est un panneau pub à lui tout seul, trotskiste, faux opposant propriété de l’empire, approuvé NOM....fin de l’histoire...un besancenot bis...circulez..

de toutes façons les élections c’est fini..truquées fausses etc..depuis longtemps..

nous avons voulu depuis des siècles jouer à la compétition entre nous, et à la société verticale pyramidale financière ceci est guerre, vol, destruction, et autres saloperies humaines bien choisies..celle ci élimine, la fin du jeu approche et le gagnant réclame son lot qui est je possède tout !!...il n’y a rien d’anormal à cela, c’est même logique, prévisible et inévitable..

on ne peut à la fois adorer des causes dont on ne veut pas des conséquences, plus « con » c’est simplement impossible...

bien sur tout ceci est en surface des choses, ce qui n’est même pas perçu, alors la raclée auto administrée va bien sur continuer...car nous n’avons rien compris du tout..sauf exceptions...tout plutôt que de coopérer,partager, l’équité etc bien sur volontairement dit la masse, qu’elle se rassure son vœux est bien exaucé..ce NOM et cette raclée sont méritée et c’est pas fini..

Il y a 500 ans un jeune homme de 18 ans écrivait ceci :

Discours de la servitude volontaire, Étienne de la Boétie

Mais ils ne font guère mieux ceux d’aujourd’hui qui, avant de commettre leurs crimes les plus graves, les font toujours précéder de quelques jolis discours sur le bien public et le soulagement des malheureux

-Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ? Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ? Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas les vôtres ? A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ? Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ? Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ?

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