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Commentaire de QAmonBra

sur Alain Finkielkraut a tort


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AmonBra QAmonBra 15 juin 2020 19:00

Merci @ l’auteur pour le partage

Fikielcrotte !? Connais pas !

Mais je suis entièrement d’accord avec Séraphin, outre le fait de l’injustice commise à l’encontre des citoyens et contribuables que nous sommes, la non condamnation pénale en nom propre des responsables est la garantie que leurs agissements vont perdurer, vu l’impunité dont ils bénéficient avec leurs « lois » taillées sur mesure depuis des décennies.

Face aux mafieux le dirigeant depuis des siècles et au stade où nous en sommes, le Peuple français doit donc faire beaucoup plus pour leur faire passer leur mépris à son égard, il doit reprendre une souveraineté lui appartenant exclusivement de droit et la garder jalousement, à mains armées si nécessaire et je pèse mes mots.

Cela implique impérativement la combativité et l’esprit de sacrifice dont nos ancêtres ont su faire preuve, faute de quoi, nous serions indignes de leur héritage, indignes d’être des français et nous mériterions un nouvel âge féodal aussi religieux, mais bien plus redoutable, que le précédent, aux fondations déjà en place, nous transformant tous en serfs et esclaves du XXI siècle et ce ne sera pas faute d’avoir été clairement averti, dès l’origine de leur prétendue démocratie « représentative » :

"La source de tous nos maux, c’est l’indépendance absolue où les représentants se sont mis eux-mêmes à l’écart de la nation sans l’avoir consultée.

Ils ont reconnu la souveraineté de la nation, et ils l’ont anéantie.

Ils n’étaient de leur aveu même que les mandataires du peuple, et ils se sont faits souverains, c’est-à-dire despotes, car le despotisme n’est autre chose que l’usurpation du pouvoir souverain.

Quels que soient les noms des fonctionnaires publics et les formes extérieures du gouvernement, dans tout État où le souverain ne conserve aucun moyen de réprimer l’abus que ses délégués font de sa puissance et d’arrêter leurs attentats contre la constitution de l’État, la nation est esclave, puisqu’elle est abandonnée absolument à la merci de ceux qui exercent l’autorité.

Et comme il est dans la nature des choses que les hommes préfèrent leur intérêt personnel à l’intérêt public lorsqu’ils peuvent le faire impunément, il s’ensuit que le peuple est opprimé toutes les fois que ses mandataires sont absolument indépendants de lui.


Si la nation n’a point encore recueilli les fruits de la révolution, si des intrigants ont remplacé d’autres intrigants, si une tyrannie légale semble avoir succédé à l’ancien despotisme, n’en cherchez point ailleurs la cause que dans le privilège que se sont arrogés les mandataires du peuple de se jouer impunément des droits de ceux qu’ils ont caressés bassement pendant les élections."

 

Maximilien Marie-Isidore Derobespierre, le 29 juillet 1792.


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