• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Spartacus

sur Par leur union définitive scellée à Gauche, les Verts ont « vitriolé » l'écologie


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Spartacus Lequidam Spartacus 22 juin 2020 18:05

Ce qui est triste c’est de voir que dans un monde capitaliste, l’écologiste n’est pas formé à l’économie de la dynamique cornucopienne c’est attristant.


C’est comme voir quelqu’un qui explique que la terre est plate, parce qu’il n’est pas formé à savoir que la terre est ronde.


Quelques notions indispensables cornucopiennes que l’écologiste doit intégrer pour ouvrir son esprit.

A recopier 1000 fois et réciter par cœur.



1-Il y a 2 type de ressources, les ressources naturelles et les ressources utiles.

Les ressources naturelles sont dans la nature, on ne les utilise pas à l’état brut. Elles sont manipulées ou transformées artificiellement pour être ressources utiles.

Exemple, une voiture ne roule pas au pétrole (ressource naturelle), mais à l’essence ou gazole (ressource utile).


3-La différence entre les ressources naturelles et ressources utiles, c’est que si les ressources naturelles sont éventuellement finies, les ressources utiles sont toujours interchangeables ou successives. Donc une ressource utile peut se substituer à une autre à l’infini.



Là est la difficulté intellectuelle de compréhension de l’écolo qui regarde l’horizon et ses clichés absurdes et dit regarde l’horizon la terre est plate ou mais non regarde le pétrole on peut pas s’en passer.

Exemple, le mammouth (ressource naturelle à disparu), la viande (ressource utile) a été trouvée sur d’autres animaux ou adaptation aux céréales.


Pour transporter (utilité), on peut utiliser, de l’essence, de l’air comprimé, de l’alcool, du vent, pédaler, de l’électricité nucléaire ou de barrage hydraulique, demain de l’hydrogène et encore plein de ressources utiles à l’infini des choix.

Si le choix des matières premières est fini, le choix des ressources utiles est infini.

Il peut manquer une note sur un piano, ça n’empêche pas de jouer la mélodie.


4-C’est l’offre et la demande (gestion des raretés), de la ressource utile qui augmente les stocks physiques disponibles de ressources naturelles.

La c’est la 2eme difficulté de compréhension de l’écolo qui réfléchit en base fixe et comprend mal la dynamique des marchés.

Exemple, c’est la demande d’électrodes de batteries de téléphone que l’on exploite des mines de cadmium, qu’on en cherche et trouve et que les stocks de cadmium sont trouvés de plus en plus.

5-On ne manque pas de « ressources naturelles ». La vérité est qu’on ignore simplement ou sont dispersés les stocks et leur quantités réelles quand on a pas encore besoin.

Ce qu’il y a sous la terre est « invisible ». Pour accéder aux stocks de ressources naturelles, il faut créer la demande. Pour répondre à la demande, on creuse plus profond, on invente des techniques d’extraction nouvelles, on transforme, on imagine et les stocks s’agrandissent.

Exemple, les écolos croyaient que les stocks de pétrole diminueraient. L’extraction hydrologique par fracturation va chercher des stocks 0 2kms en sous sol que personne n’imaginait il y a seulement 10 ans. Aujourd’hui seuls les USA ont fait acte de recherche, il reste le monde entier à creuser.


6-Les ressources rares ne sont pas rares. Elles n’ont tout simplement pas été trouvées ou cherchées.

Exemple : en France obtenir une autorisation d’ouverture de mine est tellement complexe, et le foncier et main d’oeuvre si chère qu’on en cherche pas et que les dernières ont fermées faute de rentabilité. Mais y’en a partout.


Nous ne manquerons jamais de ressources utiles.

Il faut juste savoir que l’économie des ressources est cornucopienne, comme savoir que la terre est ronde.

Mais plus de programmes marxistes à l’école des profs de gauche, que d’initiation au cornucopien...


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès