Par leur union définitive scellée à Gauche, les Verts ont « vitriolé » l’écologie
Ni positive, ni punitive, l’écologie est d’abord une discipline scientifique, pratiquée par des écologues, alors que les écologistes (qui ne sont pas forcement des scientifiques) tentent d’interpréter et de projeter une politique sociétale humaine en tenant compte des enseignements de l’écologie Science. Ce que semble omettre EELV.
Le vivant est un monde d'interactions où, par ailleurs, l'écologue a une fonction et l'écologiste une autre, mais les deux doivent être en interaction
La moindre activité d’un organisme suppose toujours des échanges de matière, d’énergie, d’informations, des mouvements, des comportements. Des interactions qui favorisent ou empêchent. Voilà peut-être ce qui caractérise l’écologue : c’est celui qui veut comprendre le monde des vivants et ses interactions.Vouloir comprendre le monde du vivant et la complexité des interactions de l’écosystème est une chose, adhérer à une pensée écologiste qui s’emploie davantage à questionner notre place dans ce monde et à développer, par interprétation, la projection d’un cadre politique et sociétal de l’homme pour son maintien dans cet écosystème, c’est autre chose.
La projection, par interprétation, d’un cadre sociétal pour l’Homme qui peut prendre la forme d’un projet politique se référant à l’écologie scientifique, celle ou celui qui le porte est l’écologiste (qui peut être également l’écologue).
L'un des enseignements majeur de l'écologie science qu'EELV semble aujourd'hui totalement ignorer
L’ un de ces enseignements fondamentaux de l’écologie science démontre qu’aucune espèce ne peut proliférer indéfiniment au détriment des autres espèces, comme le fait l’homme, sans se mettre en danger et à terme disparaître. Ainsi pour les écologistes la question démographique de l’espèce humaine doit être la problématique centrale et non « une imposture » comme le prétendent certains qui se réclament de l’écologie, tel Pierre Rabhi ( https://www.la-croix.com/Journal/Largument-demographique-imposture-2017-11-15-1100892009 ).
Alors que l’homme, par son nombre et son économie exerce une pression destructrice sur la biodiversité, il est aujourd’hui, contrairement aux cinq précédentes, le seul responsable de la 6 eme extinction des espèces. Aucune autre espèce animale ne prolifère comme l’homme le fait en augmentant sa population d’un milliard d’individus en une décennie ( de 6,7 milliards en 2009 à 7,7 milliards en 2019).
Non seulement, grâce à la médecine d’aujourd’hui, il échappe aux lois de la sélection naturelle, mais par son refus de prendre conscience de la situation de surpopulation dans laquelle il se trouve, il ne peut que devenir très vulnérable à la moindre pandémie, désormais seul élément régulateur terrible de ce nombre excessif...
La nature a horreur du vide, même EELV n’y échappe pas par ses accords politiques, d’un point de vue écologique
Dans la nature, la vitesse et l’espace disponible sont indispensable à la survie. Le prédateur doit aller le plus vite possible et disposer de suffisamment d’espace pour attraper une proie et la proie aller encore plus vite avec beaucoup plus d’espace pour échapper au prédateur. Si aujourd’hui l’homme n’a plus besoin de vitesse, il a toutefois besoin d’espace minimum pour vivre correctement. Sauf que par son nombre et son économie, outre les conflits et affrontements parfois violents, l’homme détruit chaque jour un peu plus de cet espace vital… Et les ressources qui peuvent aller avec…
Par sa qualité de seul animal culturel et prédateur au sommet de la pyramide des espèces l’homme a une double responsabilité, l’une à l’égard des autres espèces et par corrélation, l’autre à l’égard de la survie de sa propre espèce.
EELV, en tant qu’organisation politique se réclamant de « l’écologie », plutôt que se « vautrer » dans des combinaisons politiciennes pour des « bouts de pouvoir » très aléatoires devrait avoir comme objectif de considérer à minima ces enseignements et ne cesser d’agir pour que l’homme évite se fourvoyer dans des processus destructeurs de la planète… Or aujourd’hui, par des pansements bien légers en regard du mal profond qui affecte l’environnement et pour pallier aux insuffisances d’EELV c’est la convention citoyenne pour le climat qui doit prendre le relais. Il y a toutefois de quoi s'interroger sur son efficacité ! car si c'est une bonne initiative, comment expliquer la présence d’une lobbyistedu secteur minier dans le comité de gouvernance de la convention citoyenne pour le climat ? Pourquoi une représentante du Medef, membre du CESE a-t-elle une place de choix dans ce comité de gouvernance ? ça n'augure rien de bon ! ( https://reporterre.net/Une-lobbyiste-de-la-pollution-au-coeur-de-la-convention-pour-le-climat?fbclid=IwAR1Zydas1MQ7Eenp0K3Z9Kr2kCXNjmw2vQLM6z-VUrI5mEWrFvV19-FaZdU )
pour rappel, cette convention décidée par le Président de la République, dont il serait déplacé de lui faire un procès en sincérité à priori, réunit cent cinquante personnes, toutes tirées au sort (une première) qui devrait illustrer la diversité de la société française, avec pour mission de définir une série de mesures permettant d’atteindre une baisse d’au moins 40 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (par rapport à 1990) dans un esprit de justice sociale. Bien qu’elle ait omis évoquer la question essentielle de la démographie, par ses propositions, même parfois un peu « gadgets » ou certaines controversées, sous réserve de mise en œuvre des plus utiles, elle offre l’avantage d’ouvrir des perspectives qu’une entente politique d’EELV scellée avec ses partenaires productivistes ne peut faire. Ces partenaires politiques d’EELV, qui en dehors d’un verbiage écologique environnementaliste de circonstance, n’ont que faire des enseignements de l’écologie science.
Pour rappel : au début pour les Verts, c’était le « ni,ni « qui primait sur les stratégies d’accords ou de soutiens politiques
De sa fondation (1982- 1984) jusqu’à 1993 où les « Verts » pluriels avec Dominique Voynet et Yves Cochet sont devenus majoritaires, les Verts campaient sur la position du « ni droite, ni gauche », ce qui signifiait le refus de s’allier de façon absolue et durable avec l’un ou l’autre, mais que ponctuellement face à certains problèmes d’environnement, voire la gestion d’une collectivité territoriale, ils pouvaient s’entendre avec l’un ou l’autre. Le problème n’étant pas de savoir avec qui on y allait (en fixant toutefois des seuils), mais de savoir pourquoi on y allait, c’est à dire ce qu’on allait y faire et comment on pourrait le faire...
Antoine Waechter, alors numéro un des Verts et qui fut par ailleurs candidat aux présidentielles de 1988 lançait cette phrase : « l’écologie n’est pas à marier ». Ce qui allait se traduire par un refus de participer au gouvernement en 1992, quand sollicité par le PS et le président Mitterrand, plusieurs ministères leur étaient proposés, dont un ministère important pour Waechter. Septembre 1994 ce sera la scission, Waechter et une parti des Verts, dont de nombreux élu(e) régionaux fondent le MEI (Mouvement Ecologiste Indépendant) qui restera fidèle au « ni, ni », on connaît la suite.
Pourquoi participer à un exécutif gouvernemental quand on sait que cela ne servirait à rien ?...
Quel intérêt de participer à un exécutif gouvernemental, quand vous savez que vous ne pourrez faire prévaloir les principes et les éléments prioritaires du projet politique de l’écologie, parce que vous ne disposez pas du rapport de force politique nécessaire et que vous ne servirez que de force d’appoint justificative. Accepter des « strapontins ministériels » dans ces conditions et le justifier en expliquant que vous pourrez influer sur les décisions, alors que vous savez que ce sera difficile, sinon impossible, cela relève de l’opportunisme politique...
On a vu ce que cela avait donné sous le quinquennat Hollande, où même avec un groupe parlementaire, cinq Verts ont occupé des fonctions Ministérielles (Canfin, Duflot, Cosse, Pompili et Placé), y compris des vice-présidences parlementaires, dont certains ont rejoint Macron par la suite. On ne peut pas dire qu’ils ont laissé un souvenir impérissable de leur passage. Ces Ministres d’EELV qui sont d’ailleurs restés aphones lorsque deux ministres de l'écologie, pourtant Socialistes, ont été virés par le premier ministre Ayrault pour avoir dénoncé le peu d’enthousiasme qui était accordé aux problèmes liés à l’écologie et s’être opposé à des projets destructeurs, initiés par le lobby chimico-pétrolier (Mmes Nicole Bricq et Delphine Batho). Pas plus qu’il ne laisseraient de traces après LREM, pour celles et ceux qui y participeraient. Nicolas Hulot après son départ mouvementé du gouvernement est un exemple, malgré quelques résultats obtenus : abandon de l’aéroport de Notre Dame des Landes, Europa-city, A45 (Lyon St. Etienne) certes, avec probablement des contreparties, dont on ignore le contenu …
Même parfois pour des élections territoriales, à trop vouloir accéder à un exécutif ça peut tourner au burlesque
Dernier acte avec les municipales, ou dans 9 cas sur 10, EELV confirme son alliance avec la gauche (FI, PC, PS divers gauche,éventuellement le NPA), avec parfois des situations pour le moins burlesques, telle la ville de Givors (20 000 habitants au sud de la métropole de Lyon). En effet, la Maire sortante PC est numéro deux de la liste d’EELV sur l’une des circonscriptions de la métropole de Lyon, suite à un accord EELV – FI – PC – PS, alors qu’EELV présente une liste contre cette Maire sortante dans cette commune...Des membres d’EELV étant même candidats au coté de la Maire de Givors à la métropole et sur la liste qui se présente contre elle dans sa commune… On peut s’interroger sur l’efficacité de leur gestion s’ils gagnaient la Métropole de Lyon le 28 juin, quand les uns iraient au sud, les autres au Nord, quand d’autres fileraient à l’Est ou à l’Ouest...Bonjour les dégâts et requiem pour l’écologie...
A partir de 1993 encrage progressif et définitif à gauche, voire à la gauche de la gauche aujourd’hui avec la « France insoumise » (FI)
Nos institutions de la 5 eme république, par le scrutin uninominal à deux tours, en l’absence de proportionnelle aux élections législatives font que les formations politiques minoritaires ne peuvent être représentées, c’est à dire avoir des parlementaires, si elles ne sont pas associées à un parti politique dominant, comme force d’appoint. Ainsi EELV pour avoir des élu(e)s a fait le choix définitif d’une alliance avec la Gauche. Si un accord avec les partis de gauche peut parfois s’avérer nécessaire, en faire une règle absolue est une erreur fondamentale pour l’écologie.
Il y a toujours quelques individualités qui peuvent rompre avec les choix politiques d’alliance d’EELV et rejoindre à titre personnel une formation politique se situant hors de la gauche. On l’a vu en 2017 ou quelques semaines avant le scrutin, flairant l’élection d’Emmanuel Macron aux présidentielles, quelques opportunistes ex EELV ont ainsi pu bénéficier de la dynamique de son élection aux législatives et se faire élire sous l’étiquette LREM (Canfin, Pompili, De Ruggy et quelques autres). La plupart d’entre eux aujourd’hui se démarquent de la politique gouvernementale en créant un nouveau groupe parlementaire à coté de LREM. Opportunisme et ambitions personnelles quand tu nous tiens et peut importe la gravité de la situation écologique...
Le rendez-vous historique de 2010 avec la fondation à Lyon d’EELV, le rassemblement, entre autre des Verts – MEI fut éphémère
Après avoir espéré en l’efficacité de la dynamique du rassemblement des écologistes qui a abouti le 13 Novembre 2010 à Lyon à la nouvelle formation politique d’Europe Ecologie les Verts (EELV), où nous avions assisté, entre autre à la réconciliation, du MEI de Waechter et des Verts de Duflot après 16 ans de rupture, mais ce fut un rassemblement bien éphémère. EELV, dont les Verts prirent le gouvernail, par leur encrage définitif à gauche avec leur participation au gouvernement PS du quinquennat Hollande en fut la cause principale.
Lors des élections, EELV allié à une gauche hyper productiviste qui épouse un verbiage « écologiste », n’est-ce pas une imposture ?
Certes, de nombreux adhérents, militants et élus locaux sont et restent des personnes intègres, empreints encore de quelques convictions écologiques, ne serait-ce que sur le plan environnemental. Mais à partir du moment où, pour tenter de gagner une élection municipale, d’intercommunalités ou métropolitaine, ils composent avec des partis productivistes qui sont de fidèles partisans d’un système économique d’un autre age, fondée sur le mythe une croissance, qui n’est d’ailleurs plus possible. Bien qu’ils refusent cette réalité, où pour se justifier, à EELV on va parler « de croissance élective », comme d’autres parlent d’agriculture raisonnée pour masquer les intrants chimiques qui sont toujours abondamment utilisés…mais dans ces conditions se retrancher derrière le verbiage « écologie » n’est-ce pas une imposture ?
En se positionnant définitivement comme un parti de Gauche et en conjuguant l’écologie avec le social au détriment des fondamentaux de l’écologie, EELV semble oublier que ce sont les énergies fossiles qui contribuent au financement des avancées sociales, en permettant à la fois l’explosion technologique et la profusion d’esclaves mécaniques et numériques qui intègrent aujourd’hui des nouvelles « intelligences artificielles ». Or le pic pétrolier est là, la descente énergétique se précise, ce qui signifie la fin de l’abondance, de l’idéologie de l’illimité et d’un consumérisme à outrance, car la fin du pétrole marquera irrémédiablement l’arrêt de la distribution de cadeaux sociaux, ce sont les plus riches qui par solidarité devront être mis à contribution en faveur des plus modestes, si l’on veut éviter des réactions violentes de leur part (la planche à billets a ses limites).
Malgré les avantages et les espoirs qui se fondent sur la nouvelle révolution numérique des « intelligences artificielles », notamment en repensant le rapport au travail avec le travail à distance (télétravail) les métaux rares, issus des « terres rares », avec lesquels les différentes applications numériques, y compris l’informatique quantique et les robots sont possibles, ne sont pas une matière inépuisable. Cela va d’ailleurs de pair avec le pétrole et demain avec les guerres du pétrole, les guerres des terres rares... Dont la Chine détient plus de 90 % de la production mondiale. Les espoirs fondés sur la recherche se heurteront inévitablement aux effets négatifs de la nanotechnologie (par exemple les nanoparticules sur l’environnement et la santé... )
Croire ou faire croire qu'avec quelques corrections et un comportement »responsable des citoyens », notre civilisation thermo - industrielle est durable, d’une part : c’est considérer l’espèce humaine comme « propriétaire » de la Terre qui peut continuer avec quelques précautions d’user de ses richesses en toute liberté, sans limites préétablies, alors que c’est impossible. D’autre part : Tous les écologistes savent que les biens communs connaissent déjà un potentiel fortement dégradé qui nécessite en conséquence une pression moindre sur les ressources. Or la théorie d’un meilleur partage des richesse, chère désormais à EELV et ses partenaires politiques est une tromperie. Si l’on ne rectifie pas en urgence la trajectoire, ce ne sera pas un meilleur partage des richesses, mais le partage de la misère à l’échelle de la planète avec les effets évoqués par les collapsologues ( https://www.linfodurable.fr/environnement/collapsologie-pour-pablo-servigne-il-est-primordial-dapprendre-de-nos-erreurs-17387 )
Mais alors, quelles perspectives seraient-elles à tracer de la part des écologistes ?
Loin d’être une imposture, la problématique numéro un est la question démographique. Ne pas remettre en cause les politiques natalistes dans nos pays riches et entreprendre, par des politiques internationales coordonnées une décroissance démographique choisie la plus équitable possible serait suicidaire.
Le corollaire de la question démographique c’est naturellement l’économie, mais aussi l’espace vital disponible avec l’impact de la production alimentaire, notamment l’élevage et l’énergie, ou encore l’effondrement de la biodiversité, sans compter le problème de l’eau et les guerres régionales sur fond cultuel, ce qui suppose une rupture avec des approches politiques d’un autre âge.
Surpopulation et faim dans le monde, également deux fléaux indissociables
6,7 milliards d’habitants en 2009 – 7,7 milliards en 2019, soit plus d’un milliard en 10 an et de plus en plus de personne qui vont avoir faim. La FAO (Food and Agriculture Organisation Of the United Nations) a recensé une trentaine de pays pour lesquels la hausse des prix des denrées de base est catastrophique. Pour près d’un pays sur trois, ceux qui sont le plus touchés s’ajoutent à cette détresse alimentaire des problèmes politiques d’insécurité, alimentés par des conflits violents. Selon les données du Fonds International de Développement Agricole (FIDA), pour chaque augmentation de 1% du prix des denrées de base c’est plus de 16 Millions de personnes qui se trouvent en insécurité alimentaire. D’ici 10 ans c’est plus de 1,2 Milliard de personnes qui seraient en grave danger d’insécurité alimentaire. Il est évident que dans les pays riches, où les gens sont en surabondance d’une nourriture, fût- elle de plus en plus frelatée et toxique, ils ne peuvent imaginer qu’ils risquent eux aussi d’être victimes d’insuffisance alimentaire.
Si on considère également que la surconsommation de protéines animales, selon le ratio 12 protéines végétales pour une protéine animale, la FAO estime que 30% des terres arables de la planète sont actuellement destinées à l’alimentation animale, dont une grande partie pour le cheptel Européen et Américain, privant ainsi de terres disponibles de nombreuses populations de pays qui ont faim … Sans compter la pêche intensive qui épuise les fonds marins, ou encore les conditions d'élevage des poissons en bassin...Par ailleurs, la condition faite aux animaux qui sont considérés comme des objets producteurs de protéines est choquant et intolérable.
Le problème n’est donc plus une question de partage, mais bien une question de changement des mentalités et d’habitude de consommation dans les pays riches, en réduisant la consommation de protéines animales qui doivent par ailleurs s’accompagner d’une décroissance économique et démographique mondiale, choisie et équitable.
La civilisation thermo-industrielle qui s’est développée depuis la première révolution, dont on peut mesurer aujourd’hui les impacts dévastateurs, en particulier sur l’environnement et le climat, mais pas seulement avec l’effondrement de la biodiversité, arrive à son terme. Ne pas réagir en urgence par des mesures draconiennes de quotas et quantums (énergie, alimentaires ) , nous aurons un millénaire qui risque de durer moins d’un siècle...
Lorsque EELV se définit comme organisation écologiste sur le plan politique et qu’aux élections elle s’associe avec des partis de gauche traditionnel, PC, PS et très à gauche, NPA, FI, réputés pour leur conservatisme idéologique productiviste et une conception économique et sociale d’un autre temps, plutôt que de contribuer à un rassemblement des écologistes autour de leurs valeurs fondamentales et malgré des verbiages écologiques alléchants, cela ne contribue qu’à « vitrioler » l’écologie et ses valeurs de la résilience que Boris Cyrulnik évoquait en 2017 ( https://www.lesechos.fr/2017/11/boris-cyrulnik-je-veux-transmettre-les-valeurs-de-la-resilience-188267 )
Pour conclure
Aujourd’hui EELV est un parti qui dessert l’écologie et la « vitriole » par des combinaisons d’accords politiciens. Il suffit d’ écouter Yannick Jadot, omniprésent dans les médias, où son verbiage de référence à l’écologie est une catastrophe. C’est à croire que Mr. Jadot et tant d’autres « hiérarques » nationaux ou baron locaux d’EELV n’ont jamais ouvert une documentation traitant d’écologie.
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