Article qui ne me parle pas. Je n’en pense rien.
Ce que j’en pense, si j’essaye de faire une synthèse de l’article, c’est qu’il existe une pauvreté « statistique » (en dessous du revenu médian) qui par définition existera toujours quelque soit la condition de l’individu désigné comme pauvre, et une pauvreté « réelle » dont on ressent durement les effets.
Toujours suivant mon opinion, il me semble que si on ne traite que la pauvreté « profonde », les « moins profond » non traités viennent alimenter la pauvreté « profonde ».
Se rendre compte de la « pénibilité » de la pauvreté, ne se décrète pas, et il existe pourtant un bon indicateur, autre que le revenu médian, pour s’assurer, non plus de la « non pauvreté » d’un individu, mais de la dignité et de l’égalité de traitement.
Il suffit de lire ou d’écouter Emmanuel Todd, je veux parler bien sûr de l’espérance de vie, et j’ajouterai « en bonne santé ».
Si ce qu’on considère comme un « pauvre », a la même espérance de vie (en bonne santé) que le « riche » (statistiquement parlant) alors on est sur la bonne voie.
Cela voudra dire, que les opérations coûteuses sont toutes remboursées, et que l’alimentation, l’activité physique ..., sont accessibles soit par les ressources financières soit parce que l’état social fait son job.
On n’en demande pas mieux.
Concentrez vous sur l’espérance de vie en bonne santé, vous aurez une réponse synthétique bien plus parlante que les moyennes pondérées ou autre médianes des statistiques brutes.