"[...] obliger chacun à dépenser pour mieux protéger la santé ou lutter contre la pollution. Mais il s’agit alors d’une charge, d’un surcoût. Le mythe du « green deal » n’est pas de vouloir améliorer l’écologie par des mesures coercitives, mais de vouloir croire que ces mesures seront créatrices de richesse. Lorsque l’écologie est rentable, le marché privé s’en charge sans difficulté ni besoin d’incitation. [...]
Il sera peut-être alors créé des entreprises nouvelles, mais elles ne vivront que par l’argent des aides publiques.
>> s’il devait être objecté à l’auteur de cet article que son avis n’est que question de ’religion’ ... il reste intéressant de le mettre en perspective par l’observation d’un fait plus précis :
la prise de position publique du jupiter sur la chloroquine !
Sa réponse (’il n’en prendrait pas’ ...) à la question d’un journaliste, n’est pas un simple témoignage d’opinion exprimé par un particulier : venant du Chef de l’Etat, elle a valeur de décision et d’arbitrage lourds d’implications !
Comment des ’premiers de cordée’ (ou de l’ENA ?) réussissent-ils à bafouer à ce point à la fois la raison et le bon sens ? ( cf Blaise Pascal : « les esprits faux ne sont jamais ni fins ni géomètres » — ni ’esprit de géométrie’, ’ni esprit de finesse’ ! )
De deux choses l’une, ou bien ce « Représentant des Français » a des compétences médicales plus solides que le Professeur dûment estampillé par notre République (et, accessoirement reconnu et respecté en tant qu’éminent spécialiste à travers toute notre planète), ou bien ce n’est pas le cas !
Si jamais ce n’est pas le cas, il eût été indispensable que notre Chef de l’Etat nous fasse savoir quelles ’raisons d’Etat’ particulières lui permettent de faire passer en second plan le diagnostic compétent et habilité d’un spécialiste formé et validé par la République.
Sans quoi, il sera logique que le message, déduit par chaque Français, est que les diplômes, compétences et habilitations reconnues par la République, passent après l’avis de celui qui est désigné par le suffrage (très spécial) imposé dans notre beau pays : une infaillibilité électorale aurait-elle fait suite à l’infaillibilité pontificale tant décriée ’en même temps’ par ailleurs ?!
(Nota Bene : cette digression est loin d’être hors sujet, car certains ont fort justement remarqué que la question de la vraie démocratie est essentielle devant celle de la vraie écologie, incluant d’abord les questions humaines.
Et puis, si même les diplômés, les fonctionnaires estampillés par notre République, et les experts en activité couverts par cette République sont encore trop cons pour nos zélites zélues par 40% de veautants (soit, au mieux, par moins de 24% des zélecteurs), alors d’une part cela veut dire que l’ENA et toute notre Administration ne valent pas chipette non plus pour légitimer une politique économique par l’Etat
... et que s’il faut aussi se défier de l’économie privée, alors le salut de la France, serait de tout attendre de remaniements improvisés à la va-vite pour distribuer sans concertation des cadeaux ciblés financés par accroissement incontrôlé d’une dette nationalisée qui reste et restera à la charge du ’petit’ pigeon d’électeur !
en résumé : travaille (et tais-toi ; et n’étudie pas : on l’a vu, cela n’apporte aucune légitimité) ; les zélus ont besoin de ton (humilité) humiliation !
17/07 13:13 - JL
17/07 11:13 - Attila
@vraidrapo « Il est aussi intéressant de lire les commentaires que l’Article... » Le (...)
17/07 11:10 - Attila
@vraidrapo « il est urgent d’attendre que ça décante... avant de se faire un opinion (...)
17/07 11:03 - Arogavox
@JL Vouloir que l’éthique soit source de profit parce que cela impliquerait qu’on (...)
17/07 09:49 - JL
@Arogavox « Si l’éthique était source de profit, ce serait formidable : on (...)
17/07 09:35 - Arogavox
Rien d’improbable à ce qu’il puisse exister des gens incapables de certains (...)
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