@Captain Marlo
Le sujet était : « Philippot » le plagiaire. Je lis la conclusion de votre post et vous indiquez qu’il faut s’occuper de l’essentiel : la souveraineté. Vous vous contredisez vous même en critiquant Philippot qui, justement, met au centre de son action politique « la souveraineté ».
L’argument de poids que vous sortez contre lui c’est le plagiat de François Asselineau. Ce dernier, lui même plagiaire d’AAU. Dommage. Est-ce que votre argument contre Phillipot est valide ? Je ne le pense pas.
S’il est vrai que les résultats électoraux sont corrélés au temps de présence dans les médias, il existe d’autres voies, détournées, que l’UPR n’a pas souhaité exploiter. Et pourtant FA savait qu’il était banni des médias. Il acceptait, par conséquent, le fait que son score soit corrélé à son temps de présence. Que dire de plus ? Et pour l’avenir, ce sera la même chose ? Pas d’espoir donc ?
Par ailleurs, il est faux de penser que les actes suivent les idées. La psychologie sociale nous apprend qu’un minuscule acte d’engagement peut faire basculer un vote dans un sens ou dans un autre. L’UPR est restée totalement sourde à cette stratégie qui aurait pu être développée. Macron, lors de sa campagne électorale, a provoqué de nombreuses situations amenant un tout petit acte d’engagement envers ceux qui l’écoutaient.
Captain Marlo, les mêmes actes entrainent les mêmes effets. La stratégie de communication de l’UPR est mauvaise, très mauvaise. Il faudrait passer à autre chose. Le collage d’affiches ne mènera à rien parce que les actes ne suivent pas nécessairement les idées ! C’est sur ce ressort déterminant qu’il faut agir, rien que sur celui là ! Entendre les analyses de l’UPR, être d’accord avec celles ci ne se traduit pas dans les urnes par un vote UPR. Sans acte d’engagement, aussi minime qu’il soit, envers l’UPR, pas de bulletin UPR dans les urnes.
J’écoute François Asselineau mais j’écoute aussi Florian Philippot. Ce dernier défend parfaitement bien le Frexit et la souveraineté nationale. Et, il faut bien le dire, il a un charisme bien supérieur à celui de François Asselineau. Les « punch-lines » de Philippot sont d’un autre niveau que les interventions longues et sans fin de FA qui s’adresse seulement à une certaine catégorie de Français.