@nono le simplet
Vous aussi vous la connaissez la conclusion !
Cette pandémie est une pandémie de mensonges, une fabrique du consentement, une arnaque majestueuse.
L’affaire a été murement étudiée et planifiée. L’ingénérie sociale s’appuie sur les failles humaines.
« Dans un cadre d’ingénierie sociale, il n’est pas nécessaire que les chocs infligés soient toujours réels ; ils peuvent se dramatiser uniquement dans le champ des perceptions. Les chocs méthodiques peuvent donc relever du canular et de l’illusion purs, ou encore entremêler réel et illusion. Ce peut être l’apparition d’un virus susceptible de décimer les populations.
L’opinion interdit les mesures préventives qui bousculeraient la vie quotidienne mais elle accepte les décisions qui suivent un événement traumatique. Rien ne serait mieux, pour nous mettre en alerte, qu’un gigantesque canular, dès lors qu’il aura suscité une panique : une fausse pandémie serait donc de bonne pédagogie. »
» En l’espace de quelques décennies, les pays développés sont donc passés d’un contrôle social fondé sur le langage, l’interlocution, la convocation linguistique de l’humain et l’activation de ses fonctions de symbolisation, à un contrôle social reposant sur la programmation comportementale des masses au moyen de la manipulation des émotions et de la contrainte physique« .
» Jacques Attali, un des plus fins observateurs sociopolitiques de l’époque, ne cesse de le rappeler, que ce soit dans ses publications ou ses interventions médiatiques : la plupart des dirigeants contemporains ne poursuivent fondamentalement que deux buts, le premier étant de mettre sur pieds un gouvernement mondial ; le deuxième, afin de protéger ce gouvernement mondial de tout renversement par ses ennemis, étant de créer un système technique mondialisé de surveillance généralisée fondé sur la traçabilité totale des objets et des personnes. Ce système global de surveillance est déjà fort avancé grâce à l’informatique, à la téléphonie mobile et aux dispositifs de caméras, statiques ou embarquées dans des drones, en nombre toujours croissant dans nos villes. Un pas supplémentaire sera bientôt franchi avec la technologie RFID (Radiofréquence Identification) et les implants sous la peau de puces électroniques émettrices de signaux qui assureront notre géolocalisation permanente. Ce tatouage numérique, plus qu’indélébile puisque enfoui dans nos chairs, contiendra en outre les informations biographiques et biométriques suffisantes pour autoriser le profilage à distance de son porteur et permettre ainsi d’anticiper sur tout comportement évalué comme potentiellement dangereux de sa part ."