Ce que peuvent déclencher deux énergumènes de la pire espèce est impensable.
D’une, je remercie Mr Aubert pour son analyse, ma foi, autant valeureuse que bien des sujets traités par d’« éminents » journalistes.
Un petit regard sur le passé, quand on entend un rappeur (beurk le rap...) s’égosiller à dire qu’il baise la France, je me souviens d’une chanson de notre très académique M. Leforestier qui disait en mots plus chatiés : j’m’en fous d’la France elle m’a menti.
Je ne parle pas des propos plus enjoleurs d’un Brassens, plus agressifs d’un Ferré, mais il est certain qu’au moins ces trois là portaient haut le teint blanc et la culture française.
Je n’en dirais pas de même de ce Finkielkraut, membre de la coalition poumpoumpidou des clowns de la philothropie active avec ses collègues tristement nauséeux que sont les Gluksmann et autre Levy.
Cette fange disparate dans la pensée (existe-t-elle ? ), qui mélant leur stupide idiosyncrasie, se retrouve liée par leur boulimie médiatique, quitte à discréditer le plus simple des balayeurs.
IL est remarquable que Fink-en-croute fait plus de mal avec ses dithyrambes au simple citoyen juif français que tous les Le Pen présents sur le PAF aux mêmes heures.
Le rappeur benêt qui dit des aneries que tout un chacun peut comprendre et jeter au panier, a certainement moins de poids socio-médiatique, par ses origines sans carrure, que le Penseur poli-tes-deux-seins que le lobby politico-journalistique encense.
De plus en plus nos chers journalistes, (qui font aussi des fautes d’orthographe.... merci le correcteur Word) réagissent épidermiquement aux sujets important sans aucun recul, provoquant de tel naufrage informatif que cette bouillie servie durant les évènements (en sont-ce vraiment ? ) et creusant le lit du populisme le plus pervers dans lequel s’engouffrent des Sarkobignou et les Néo-Philosophes aux relents chupa-chups.
Tant et si bien que la populace tranche dans le lard et prend parti, non sans mettre son esprit de côté, laissant les émotions et les haines prendre le pas sur la reflexion la plus basique.
Grace à ces messieurs de la pensée moderne (vide, creuse), nous faisons un grand saut en arrière dont profite la vermine extrémiste qui s’engouffre dans tous les recoins médiatiques (voir le multipseudoman plus haut) et infecte la raison de vieux maux qu’on aimerait voir anéantis.