@nono le simplet
si on s’en tient strictement aux chiffres et à l’âge médian des morts du coronavirus, il s’agit d’une toute petite épidémie, affectant à la marge la population, n’arrêtant ni ne freinant quasiment pas sa progression. Par contre, la peur véhiculé autour est extraordinaire.
Cela ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire, mais en aucun cas qu’il fallait ou faille mettre toute la population en quarantaine et la maintenir dans la paranoîa, surtout la population jeune dont le risque est infiniment moindre que conduire sans port du casque par exemple.
Si les motivations de protection de la population de ceux qui nous contrôlent étaient vrai, certaines substances bien plus mortifères devraient êtres interdites, comme le tabac, l’alcool et autres antidépresseurs et en tout état de cause, la consommation du cannabis autorisé. Etrangement, malgré le nombre de morts dû au tabac, cela n’a d’autre effet que d’augmenter le prix de vente et pire encore (prouvant le foutage de gueule), les débits de tabacs(et la vente d’alcool) bénéficiaient d’une dérogation spéciale pendant le confinement, au même titre que les produits de premières nécessités. Stupéfiant donc de voir des gens reconnaître tacitement le fait que le tabac ou l’alcool sont des drogues dures, vitales non pas pour leurs consommateurs, mais pour leur entourage afin d’ éviter de devoir affronter un effet de manque pouvant générer une extrême violence (pas toujours suffisant d’ailleurs). Légalisant donc des drogues dures aux effets dévastateurs connus (la liste est longue) surtout pour leur entourage et avouant leur incapacité à l’interdire même en situation de crise, mais trouvant toujours de mauvaises raison d’interdire le cannabis, dont les effets bénéfiques sont, eux, reconnus.
Bref, l’hypocrisie règne en maître, car jamais ceux qui imposent un système fondé sur le rapport de domination, telle que la société actuelle, ne se sont souciés du bien être de la population dominée, seulement de l’intérêt qu’elle peut y trouver.