Pour ceux qui savent décrypter le sens dissimulé derrière les bonnes intentions affichés, la démocratie n’est qu’une farce.
Nous arrivons à la fin d’une période de 75 ans ou les pains et les jeux ne suffisent plus à masquer l’ampleur de la tromperie universelle.
De plus en plus de personnes commencent à s’apercevoir que les beaux principes à laquelle ils ont été quotidiennement imprégnés ne sont en faite que les voiles utilisés subtilement par une élite pour permette l’entretien et l’approfondissement de leur propre vision de la société et de l’aménagement des rapports interhumains.
Cet élite, du fait de sa déconnexion de plus en plus prononcé des réalités physiques et naturelles d’un monde à laquelle elle a continuellement cherché à s’extraire en poussant leurs congénères d’en bas à faire de même, est paradoxalement de plus en plus perdu du fait que le naturel menace dangereusement de revenir au galop et cherche donc à s’en protéger en renforçant les mesures de défenses et de contrôles, y compris sur la populace nombreusement menaçante qu’ii s’agit de dompter avant qu’une trop grande partie de celle-ci se décide à prendre son propre destin en main.
D’où la peur entretenue et le resserrement des boulons à l’œuvre, la perspective de la fin justifie les moyens.