Une info qui vous intéressera, surement Bernard Dugué, qui avez parlé dans un article précédent, de la charge virale :
« Les kits de test Mickey Mouse (sic) envoyés aux
hôpitaux, au mieux, indiquent aux analystes que vous avez un peu d’ADN
viral dans vos cellules. Ce qui est le cas de la plupart d’entre nous,
la plupart du temps. Cela peut vous indiquer que la séquence virale est
liée à un type de virus spécifique – par exemple la grande famille des
coronavirus. Mais c’est tout. L’idée que ces kits puissent isoler un
virus spécifique comme le COVID-19 est absurde.
Et ça n’a encore rien à voir avec l’autre problème – la charge virale.
Si vous vous souvenez bien, la PCR
fonctionne en amplifiant d’infimes quantités d’ADN. Elle est donc
inutile pour vous dire quelle quantité de virus vous pouvez avoir. Et
c’est la seule question qui compte vraiment lorsqu’il s’agit de
diagnostiquer une maladie. Tout le monde aura quelques virus dans son
système à tout moment, et la plupart ne causeront pas de maladie parce
que leurs quantités sont trop faibles. Pour qu’un virus soit malade, il
faut en avoir beaucoup, une quantité massive. Mais la PCR ne teste pas
la charge virale et ne peut donc pas déterminer si une ostéogenèse est
présente en quantité suffisante pour vous rendre malade. »