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Commentaire de Legestr glaz

sur Ne nous masquons pas la réalité !


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Legestr glaz Legestr glaz 1er septembre 2020 08:51

@nono le simplet

Des auteurs dont les textes sont si appréciés ! Et tellement bien documentés. 

Aucune étude scientifique ne valide le fait que les masques protègent contre les virus respiratoires aérosols. Aucune !

Par ailleurs, soyons un peu sérieux, 99,9% de la population ne sait pas porter le masque. C’est une mascarade ! smiley

Une manipulation gigantesque ! Le masque n’a « aucun intérêt » pour le grand public ! 
https://www.youtube.com/watch?v=zpRTpA2sRz0

la science nous renseigne sur le facteur « crucial » dans la transmission des virus respiratoires aérosols : la taille des particules ! Ces particules, en suspension dans l’air ambiant, peuvent aller de 0,001 micromètre à 100 micromètres.

  • Les aérosols sont de fines particules de dimension inférieure à 5-10 micromètres. La transmission peut se faire à des distances supérieures à 1,8m, sans aucun contact avec la source. Dans ce cas l’épidémie est « brutale » et « explosive ».

  • Les gouttelettes sont de grosses particules, de 10 à 100 micromètres. Un contact « proche », inférieur à 1 mètre est nécessaire. La diffusion est « lente », « intermittente » », « variable », « sans cluster », « non reconnue parfois ».


A conditions de température et d’hygrométrie identiques, les scientifiques ont mesuré le temps de suspension dans l’air des particules selon leur taille et leur mode d’infection de l’organisme humain.

  • Les particules de 100 micromètres ont une durée de chute de 6,7 secondes. Les particules de 10 micromètre de 17 minutes. Ces particules infectent les voies respiratoires « supérieures » à savoir le nez, la cavité buccale, le pharynx et le larynx. Ces organes possèdent des moyens de défense contre ces particules qui sont « filtrées » par les muqueuses avant acheminement vers les poumons.

  • Les particules de 1 micromètre, et moins, restent en suspension dans l’air durant plus de 18 heures ! Ces particules infectent directement les voies respiratoires « inférieures » : la trachée artère, les bronches, les bronchioles, les alvéoles et les poumons. Les muqueuses respiratoires ne piègent pas les particules de si petites tailles.


Pour donner un ordre d’idée, une cellule humaine c’est environ 10 micromètres, une bactérie 2 micromètres et un virus de 0,01 à 0,3 micromètres.


Le masque, après chaque respiration, laisse échapper les virus respiratoires aérosols qui ne peuvent être retenus par celui-ci parce que, d’une part, leur taille leur permet le passage à travers la trame du matériau du masque, et, d’autre part que, tout simplement, il ne soit pas strictement appliqué sur la peau du visage ou encore qu’il baille à certains endroits. La barbe des hommes, les plis de la peau, les boutons, les branches de lunettes, les rides, l’entourage du nez, provoquent des mini orifices par lesquels les virus respiratoires aérosols peuvent s’infiltrer sans aucune difficulté.



Les porteurs de masque ont « l’illusion » d’être protégés parce qu’ils n’ont pas compris, parce que l’information ne leur a pas été donnée, que ce sont les « nanoparticules » présentes dans l’air qui permettent aux virus respiratoires aérosols de se propager et d’être « respirés » depuis l’air ambiant et ainsi de pénétrer les poumons et les voies respiratoires.

Et puis « assis »  « debout » c’est très scientifique comme approche dans la lutte contre un virus respiratoire aérosol ! 

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-pere-noel-et-les-masques-226713

Venez nous rendre visite avec des arguments plutôt que des opinions non fondées ! 


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