Pour
info :
Ce
ne fut que l’an 325 que la secte catholique, qui avait complètement dénaturé le
Christianisme depuis Paul, s’installa en maîtresse à Rome.
Il faut remarquer que toutes les
sectes secrètes des premiers Chrétiens, dont les esseniens, se rattachent à
Johana (devenue Jean), aucune à Jésus.
Le nom de Jésus n’est que
la forme ultime du Jeseus des Juifs ou du Hésus des Gaulois, nom
modifié suivant les langues parlées dans les divers pays, mais qui garde
partout sa signification symbolisant le sexe masculin.
Ce nom qui va entrer dans l’histoire
d’un cycle nouveau a pu être pris dans sa forme juive, « Jeseus », il a
pu être pris dans sa forme celtique, « Hésus ». Dans cette dernière
conjecture, il est facile de comprendre comment ce nom est descendu de la Gaule
en Orient.
Quelques siècles avant l’ère
actuelle, les Gaulois s’étaient répandus partout : dans le Nord jusqu’en
Irlande, dans la haute Italie, sur la rive droite du Danube où ils avaient
fondé la Galicie ; de là ils étaient descendus en Macédoine, en Thrace et en
Thessalie. Ils avaient fondé en Asie Mineure la « Nouvelle Gaule », et
ce sont eux qu’on appelait les Galates. Ils étaient certainement, à cette
époque, « ceux qu’on imite ». Or Judas, qui cherche un nom pour le Dieu
mâle, est Gaulonite, c’est-à-dire partisans des dieux gaulois (2). A Lutèce,
les masculinistes juraient par Hésus, tandis que les féministes juraient
par Isis. La lutte de sexes était partout. Et l’on sait que c’est de là
qu’est venu le mot Parisis (d’où Paris).
Quand on parle des Écritures du
Seigneur, ce n’est pas de Jésus qu’il est question, puisque Jésus n’a rien
écrit. Nous répétons, encore une fois, que le Seigneur est la traduction
par saint Jérôme du mot « Kyria », titre donné à Johana.
Le
Christianisme primitif avait été une doctrine sur le « Christ », son
nom est resté pour l’indiquer, ses partisans s’appelaient Christiens ; ce ne
fut pas une doctrine sur Jésus, qui n’y fut introduit que plus tard par des
esprits vulgaires qui vinrent rapetisser l’idée de Rédemption. Le Jésuisme
allait tuer le Christianisme.
C’est ainsi que les vraies origines chrétiennes sont inconnues, et les Eglises diverses qui se rallient à
ce titre ne désirent pas qu’on les connaisse.