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Commentaire de velosolex

sur « Festival de Wight 1970 » Un demi-siècle après... sa Plénitude


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velosolex velosolex 2 septembre 2020 12:46

@Theothea.com

Je garderai la nostalgie des premiers albums de Dylan, qui comme les Beatles concentrèrent dans leurs premières années, leur génie. « Master of war » ou « Mister tambourine man », raisonnent toujours en moi. Dylan baigna dans le Greenwich village, où il épanouit son génie, comme Monet le fit à l’ère des impressionnistes à Paris, ou Picasso plus tard dans le cubisme. Il y a des époque géniales qui transcendent les artistes. Comme d’autre transcendent la connerie. 
Il y a quelques années, les frères Coen, ont réalisé un très bon film, " inside Lewyn Davis", qui s’inspire de la vie de Dave Van Ronk, un énorme folk singer que Dylan à pompé quelque peu....De très beaux instants musicaux, où l’on voit les fantômes de "peter paul and mary", de Dylan lui même, arrivant en scène quand dave van ronk, pardon « lewyn davis » la quitte, à la fin du film, comme un symbole. 
Van ronk n’était pas très doué pour le succès, contrairement à Dylan. Le film s’attache à ce personnage sympathique, qu’on pourrait nommer un looser. Mais il a été tout de même très reconnu par ses pairs. Il a le chic pour gâcher les occases offertes, tel ce morceau qu’un producteur  lui demande d’interpréter, après qu’il ait fait 3000 kms en stop pour le voir. Il ne réussit à chanter qu’une vieille ballade française du moyen âge...Alors que sa voix puissante et son jeu de guitare étaient impressionnants. 


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