@bubu123
Je le répète encore : les études concernent des malades hospitalisés ! Est-ce que c’est si difficile que ça à comprendre ?
Le zinc empêche le virus de se multiplier. Il faut donc agir « dès les premiers symptômes ». La chloroquine, un ionophore du zinc, favorise l’entrée du zinc dans la cellule. Il faut moins de 48 heures pour annihiler l’action du virus en présence de zinc et d’un ionophore du zinc.
La première phase d’un attaque virale est la « réplication » virale.
Alors bubu123, lorsque les malades sont hospitalisés cela veut dire que le premier stade est dépassé, les malades commencent à avoir des dysfonctionnements plus ou moins graves.
Je le répète, si les malades sont hospitalisés, c’est que le virus a déjà fait des dégâts dans l’organisme. Vous avez du mal à comprendre ça ?
Les études, qui concernent les malades « hospitalisés » sont biaisées en ce qui concerne la chloroquine !
Les preuves sont données par la biochimie. Si vous contestez les preuves biochimiques c’est autre chose. Je vous ai déjà posé cette question et je la renouvelle :
— Est-ce que vous contestez que le zinc joue un rôle immunitaire important dans l’organisme humain, est-ce que vous contestez que le zinc est un antiviral de premier plan ?
— Est-ce que vous contestez que la chloroquine est un ionophore du zinc, qu’en sa présence le zinc inonde les cellules ?
Répondez à ces deux questions et quittez le monde des études randomisées.
Par ailleurs, avez vous entendu dans les médias, ou de la part de la Haute autorité de santé, que le zinc était un antiviral merveilleux et que la chloroquine était un ionophore du zinc. L’avez vous entendu ? Le saviez vous ?