L’inertie de tout ce système ne date pas d’hier ou d’avant-hier puisque
les Dr Jacques M. KALMAR et Maître Jean EYNARD avocat à la cour de
Grenoble écrivaient à ce sujet dans leur livre LE PROCÈS DES
VACCINATIONS Aspects Médical, Juridique et Moral publié en 1960 en conclusion
d’un chapitre (page 51) :
> On doit comprendre que l’organisation financière et technologique
qui assure la préparation et la diffusion des vaccins est devenue
beaucoup plus importante que le principe des vaccinations lui-même, à
tel point que l’organisation doit continuer de fonctionner même si le
principe qui la justifiait au départ a cessé d’être valable. Aussi
lorsque les vaccinations suscitent une résistance grandissante de la
part du public devient-il nécessaire et de bonne politique de stimuler
la foi vacillante dans la sainte Institution en créant des paniques à
l’occasion de foyers varioliques insignifiants. La peur reste l’arme
maîtresse pour la conduite des peuples. Peut-être croirez-vous que nous
exagérons ? Prenez le « Concours médical » un des organes les plus
sérieux de la Presse médicale : dans son numéro du 19 février 1955, page
805, vous pourrez lire ceci, à propos de la peur savamment développée
lors de « l’épidémie du Morbihan » : « Le Ministre de la Santé aurait
peut-être intérêt, pour « lancer » de temps à autre telle ou telle
vaccination, à créer fort astucieusement, avec l’aide inconsciente de la
« Grand Presse », de tels courants d’opinions ». En admettant que la
peur irréfléchie, absurde et sans fondement soit une opinion…
Quand les hommes et les femmes de France comprendront-ils le solide
mépris qu’éprouvent à leur égard ceux qui se croient et qui se disent
grands personnages ?
Mais c’est une œuvre de peu de poids et de petite envergure que de
consacrer son activité à tromper. On peut tromper un temps, on ne peut
tromper tout le temps. <