tout d’abord, de rappeler que le masque en question ne protège en rien contre l’inhalation du virus par les aérosols, mais limite seulement sa propagation par le porteur, essentiellement les gros postillons et en considérant la volatilité des aérosols.
Ensuite, je pense qu’il y a mieux et plus simple que le port du masque, même dans les transports, c’est l’écran en plexiglas, mais sur lequel on fixe, au niveau de la bouche, une surface collante (un double face fait l’affaire), ceci, car m’est avis que même les particules les plus fines d’aérosols restent piégés sur cette surface. Là, le problème de confinement du virus est supprimé, mais aussi la gigantesque gabegie que représente la production de milliards de masques.
Pour finir, d’accord avec vous sur le fait, qu’au delà des lieux confinés comme les transports en commun, le masque tel quel ne prouve pas son utilité, les mesures appliqués par ailleurs pouvant suffire, l’exemple asiatique où tout le monde porte le masque à coté de mesures de distanciations et de précautions sanitaires, n’étant pas valable pour affirmer l’utilité du masque en tout lieux.
Pour répondre aux nonos du site, en prenant une métaphore, si vous utilisez un filet à petite maille pour pécher le thon, vous êtes certains d’attraper le thon, mais que faites vous de tout le reste ? Ainsi, le confinement généralisé à certes arrêté la contamination de ceux qui étaient infectés, mais était totalement inutile pour les autres, alors même qu’on connaissait très bien les zones infectées (après avoir laissé ces zones s’étendre avant de réagir ) et celles non infectées.