... moi, je n’y connais rien si ce n’est qu’apparement un citoyen d’Iran a été executé, peu importe les raisons et les conditions.
Cela me pose un problème avec la peine de mort, évidement.
A priori, j’y suis totalement opposé, mais, que faire avec ceux qui l’ont condamnés a cette peine et qui l’ont executé. Si la peine de mort ne s’applique plus, que risquent-ils si ce n’est bien rigoler dans leur coin.. Il risque une eventuelle condamnation par un tribunal penal international dans 30 ans au moins et termineront leur vie tranquillement dans un autre pays ou les conditions de détentions, s’ils sont vraiment détenus, relèvent plutôt du club Med que de la prison.
Alors, en l’absence de solution, je trouve qu’il faut maintenir la peine de mort, mais pas la peine de mort « reelle », mais une peine de mort sociale applicable en remplacement.
Pour que cela arrive il faut que les pays capables de le faire, sinon qu’une délégation internationale le permette, edifie un systeme de « bagne » exclusif, inhumain certes, mais restant le seul moyen d’expulser de la societe humaine ceux qui sont capables de tuer dans ces circonstances.
N’oublions pas que « pas de peine mort » veut dire qu’en aucune circonstance, une autorité organisée n’a le droit de tuer (excepté le cas de guerre et de defense directe)
J’ai plus ou moins resisté lorsque les américains ont mis en service le centre de Gantanamo, mais il faut reconnaitre que si c’est l’alternative à la peine de mort, pourquoi pas, toujours à condition que la peine soit perpetuelle, réellement perpetuelle.
Je me reserve le « droit » de changer d’avis, probablement... merci de m’avoir lu... et ayons une pensée pour la famille de Navid, lui ne souffre plus, hélas.