@Captain Marlo
Vous écrivez : « il y a ceux qui sont suffisamment curieux pour chercher les origines des problèmes ».
Certes. Mais, de ce point de vue, François Asselineau manque de « curiosité ». Il lui manque le dernier étage de la fusée.
Il dénonce sans cesse le « pouvoir » des non élus à Bruxelles, celui de la Commission européenne. Ce disant il fait une erreur magistrale.
François Asselineau veut-il se voiler la face ? Je ne sais pas. En tous les cas, pour gagner une victoire il faut savoir repérer l’ennemi. François Asselineau ne l’a pas encore fait, ne l’a pas encore pointé du doigt. Il détourne l’attention sur des « supplétifs » !
La politique mondiale nous montre que les gouvernements de la planète se divisent en deux catégories. Les tenants d’une politique « mondialiste » et les partisans d’une politique « nationaliste ». Trump, Bolsonaro, Poutine, sont nationalistes. Pour cette raison ils ont, tous les trois, les journaux dominants contre eux en permanence. Ces médias étant la propriété d’une oligarchie mondialisées qui les utilisent comme des outils de propagande.
François Asselineau n’aborde jamais la problème de « l’Etat profond », n’aborde jamais le problème de la « gouvernance mondiale ». Et pourtant, le noeud de l’affaire est bien là ! François Asselineau fait comme si ce « concept » de « gouvernance mondiale » n’existait pas ! Je ne l’ai jamais vu s’attaquer à ce problème. Alors que, évidemment, pour développer une politique souveraine il faudrait lutter contre ceux qui veulent diriger les pays vers une gouvernance mondiale.
Silence qui raisonne bruyamment de la part de François Asselineau sur cette gouvernance mondiale, ses tenants et ses aboutissants.