Bonjour,
Je reviens sur le taux d’incidence dont vous décrivez la faiblesse compte tenu du nombre de tests sous-jacents réalisés.
Mais le nombre de tests pratiqués pour chaque département n’est certainement pas arbitraire, enfin je me plais à l’espérer malgré la débandade actuelle.
Nous savons que la probabilité de contact entre un infecté et un susceptible est déterminante pour la propagation, le taux de transmissibilitè ainsi que la durée de contagion étant homogènes.
La probabilité de contact est faiblement liée à la population, une grosse population en Sibérie où les distances sont considérables n’engendre pas linéairement des contacts, en revanche la densité pouvant être modulee par des indicateurs socio-économiques empiriques, propension locale, peut fournir un critère de risque acceptable pour établir justement le nombre de tests à réaliser par département.
Si le nombre de testés est ainsi conditionné alors le taux d’incidence redevient significatif et ramené à 100000/population il fournit un indicateur comparatif comportemental par département, ce qui explique alors qu’il soit retenu pour la communication.
Bref la faiblesse observée avec sagacité peut se transformer en force.
Si mon hypothèse est bonne, il est dommage que le site gouvernemental ne mentionne pas au moins l’existence de l’ajustement du nombre de testés par département.