« Lorsque le sionisme
cherche à faire croire au reste du monde que la conscience nationale des juifs
trouverait satisfaction dans la création d’un État palestinien, les juifs
dupent encore une fois les sots goïmes de la façon la plus patente. Ils n’ont
pas du tout l’intention d’édifier en Palestine un État juif pour aller s’y
fixer ; ils ont simplement en vue d’y établir l’organisation centrale de leur
entreprise charlatanesque d’internationalisme universel ; elle serait ainsi
douée du droit de souveraineté et soustraite à l’intervention des autres États
; elle serait un lieu d’asile pour tous les gredins démasqués et une école
supérieure pour les futurs bateleurs. »
Marc Augier, dit Saint-Loup,
citant un extrait de Mein Kampf, dans son livre : « Hitler
ou Juda ? Un second procès de Nuremberg »
Origines :
La dissolution religieuse et
morale des Juifs engendra une littérature exubérante dans laquelle les scribes
et les docteurs, pétris d’orgueil, épuisèrent leur science en de vaines et
puériles subtilités. Ils étaient fanatisés par les idées nouvelles que la
mauvaise traduction du Sépher avait fait naître et, sur ces traditions
faussées, édifièrent une nouvelle Loi. Au commencement du premier
Christianisme, ce sont eux que l’on considère comme des pharisiens hypocrites,
des « Hommes sans Thorah », des sépulcres blanchis qui imposent aux autres des
devoirs qu’ils ne remplissent pas eux-mêmes et créent dans la société une
aristocratie factice basée sur les privilèges qu’ils se donnent. D’un « royaume
divisé contre lui-même », ils forment des sectes qui se détestent et se
méprisent entre elles autant qu’elles détestent et qu’elles méprisent le genre
humain. Combien ils sont loin de l’antique esprit d’Israël, ces hommes avilis
et prétentieux à la fois, livrés à d’incroyables superstitions et à un sordide
appât du gain ! Leur esprit obscurci ne leur permet plus de comprendre la
Thorah dont le sens leur échappe, la lettre seule les attache et ils la
réduisent à une casuistique ridicule et frivole.