@Luigi Cavaliere et bec à Foin
En vous remerciant de votre visite et de vos commentaires, cette analyse :
Nous passons donc à la gouvernance par le virus.
Comme l’analyse Anne-Sophie Chazaud, il justifie désormais le droit
pour le gouvernement de s’affranchir des règles de droit. La dictature sanitaire
est désormais le prétexte à la dictature tout court. Bien sûr, comme
tout ce qui se fait aujourd’hui, cela se fait au nom du bien, au nom de
la santé. Or, cet état sanitaire dégradé est le fruit volontaire de
l’action des gouvernement.
Ils
n’ont pas créé le virus mais torpillé le système hospitalier. La France
qui était une grande puissance industrielle, n’a plus les moyens
d’hospitaliser 1500 personnes en lits de réanimation. Ils créent un
climat de peur qui transforme le peuple en troupeau de moutons.
Les
individus sont réduits officiellement à n’avoir plus que le droit de
travailler, réduits au statut clair de masse salariale/chair à canon. Le
virus, pendant ce temps, malin, ne se réveillant qu’après 21h, ne
circulant que la nuit et n’aimant rien tant que boire des coups et faire
la fête, se marre, goguenard, pour redisparaître aussitôt aux premières
lueurs de l’aube, c’est bien connu, quand la masse salariale s’ébroue,
quand le parc humain a de nouveau le droit de s’activer afin de produire
et de consommer tout un tas de choses le confirmant dans son néant
existentiel. Le soir, cette masse soumise, privée sans broncher de
liberté, fera tourner les sous-économies d’exploitation de livraisons à
domicile, grassement alimentées en main d’œuvre importée à bas coût sur
fond de dérégulation généralisée, dans le but de la fragiliser elle-même
et de lui rappeler qu’elle n’a que le droit de danser frileusement sous
le volcan et en silence en attendant sa propre perte.
On
pourra toujours compter, comme à chaque fois, sur les délateurs et les
collabos de tout poil pour dénoncer le voisin qui sort son chien trop
souvent le soir, qui rejoint son amante dans la nuit épaisse et illégale
ou le bistrot qui, pour survivre, sert quelques rondelles de saucisson
avec un Saint-Marcelin en guise de restauration. Les nostalgiques de la
rue Lauriston sont au taquet et la Kommandantur se pourlèche les
babines, carnets de procès-verbaux à la main.
Les parlements n’existent plus, n’ont plus voix au chapitre, les peuples se soumettent sans quasiment la moindre révolte devant ces mesures absurdes (au regard du danger réel de ce virus à l’échelle de l’humanité).
Seul
l’aspect mondial de cette dictature sanitaire en permet
l’opérationnalité, servie par les tenants d’un mondialisme délirant,
hors sol et officiellement entré en psychose collective.
Pour le moment, ça marche. Jusqu’à quand ?"
Source : Anne Sophie Chazaud et Claude Rochet : https://claude-rochet.fr/la-gouvernance-par-le-virus/