On refuse d’autoriser l’utilisation de l’HCQ, alors que le Pr Raoult a, a minima, montré que son utilisation n’occasionnait pas un surcroît de létalité chez les patients Covid soignés avec sa thérapie. Le bénéfice a la prescrire est encore sujet de débat, mais son innocuité ne devrait pas l’être. Première bizarrerie.
Si c’est la science et elle seule qui préside aux décisions de notre gouvernement où sont les études indiscutables prouvant que l’usage des masques en extérieur entraine un quelconque bénéfice ? Où sont celles indiquant que les gens se contaminent massivement en salle de sport, en restaurant ? Nulle part. L’OMS, elle même, a demandé à ce que ces études inexistantes soient faites pour appuyer ces décisions sur des bases un peu solides. On vient quand même de soumettre 46 millions de français au couvre-feu alors que les myriades de modes de contamination continuent d’exister pour un bénéfice qu’on peut soupçonner faible s’il apparaît au final. On n’a déjà aucune preuve que le confinement a eu et aura un impact sur le bilan final de la maladie. Il est vrai que le confinement en pointillé avait de quoi faire sourire le virus. En ce moment on peut se postillonner à courte distance à condition de fumer ou manger, comme en mars on était confiné mais on allait à la boulangerie, à la pharmacie, au supermarché sans masques, alors jugés inutiles. Il y aurait eu des études entre temps ? On serait aimable de nous les présenter...
Et puis , il y a la Suède. Pas de confinement, pas de masques obligatoires et ils n’ont pas eu le double ou le triple de notre létalité. L’apocalypse n’a non seulement pas eu lieu mais la remontée des décès chez eux n’est pas flagrante en ce moment.
Quelqu’un ayant une opinion tranchée sur la possibilité d’une immunité collective naturelle à terme face à ce virus à, peut-être, quelque chose à vendre, en doses injectables, on peut le soupçonner du moins.
Ils n’ont pas de conflits d’intérêts tous ces gens ?...