Bonsoir Camille,
« Ou allons-nous agir ? Qu’attendons-nous pour créer ensemble un monde plus respectueux de l’environnement et du vivant ? Le monde de demain dans lequel nous voulons vivre. »
J’apprécie votre démarche, mais...
Vous n’êtes pas le premier à publier ce genre d’article : « une situation non-satisfaisante donc changeons ! »
Mais changer pour quoi ?
Allez-y faites vos propositions ! Changer pour quoi ? Comment se concerter ? Comment gérer les avis contraires ? etc...
Bon, pour ma part, j’ai essayé. J’ai proposé « une possibilité de société fraternelle » ( https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/societe-fraternelle-4-fontaine-je-226906 ). Je n’ai pas vu d’autres propositions très concrètes. A part « un capitalisme participatif » (mais l’auteur semble avoir jeté l’éponge), « le RIC », « une primaire gilets jaunes », dernièrement : « remplacer les députés par l’assemblée des maires de France », « le rassemblement et le dialogue ». Il y en a eu sûrement d’autres.
Et je ne me suis pas contenté de proposer un « air » de fraternité, mais un système social : sans hiérarchie, le développement de la relation de voisinage (fraternelle !), une semaine de 24h (de travail « utile »), un logement pour tous (en fonction du lieu d’activité et de la taille du foyer), sans argent (mais avec des institutions donnant accès au savoir -TOUT le savoir- au citoyen : les PNT, une institution qui certifie au citoyen que ce qu’il a voté est respecté ou pourquoi ça ne l’est pas : le CNC, un accès aux activités : la bourse des activités -nationale et unique-, un système de distribution national).
Une critique des articles ? oui, il y en a eu... Mais une critique du système proposé ? aucune (non, en fait il y a eu quand même deux ou trois avis favorables, mais sans plus).
Le problème c’est que je pense que le site d’AV tel qu’il est conçu ne favorise pas ce genre de démarche. Donc, je pense que même si vous développez une proposition avec une méthode, il faudra qu’on aille voir ailleurs pour faire éclore une réflexion commune. Parce qu’ici à part les écrivains quotidiens, les « publicitaires » patentés des partis politiques, il semblerait que les lecteurs (des milliers quotidiennement ?) ne soient pas enclins à exprimer une quelconque critique sur quoi que ce soit...
Dommage.