@Sarah Juste
mais cette crise que l’on traverse et qui est une crise contre le Mal
finalement nous amène à plus réfléchir sur quelle société on
souhaite....
Cette crise existe depuis au moins trente ans et, visiblement, personne n’en a rien à cirer. Sinon la société « idéale » que tout le monde appelle de ses vœux serait en cours de réalisation. A la place, on a son complet contraire, à savoir le cauchemar macronien.
en tout cas, je ne souhaite pas une oligarchie qui de ide de mes faits et gestes mais bien une société Juste...
Dans ce cas, il vous faudra plus qu’un clavier pour écrire sur un site internet.
Le vrai « combat » pour ce genre de choses se déroulait avec les GJ — qui ont perdu face au non-soutien physique de la population qui a préféré se cacher dans son cocon de confort et d’illusions « d’échapper à la crise ».
Nous l’avons d’ailleurs perdu, encore une fois, et nous le perdrons encore si nous n’exigeons pas physiquement une nouvelle démocratie. Le pouvoir du citoyen a disparu avec son renoncement à y participer et déléguer ses pouvoirs aux « représentants », à « élire le moins mauvais », à adhérer de force à l’UE sans réagir.
Le divin, on l’a en chacun de nous, c’est dans la philosophie
bouddhiste...si vous ne comprenez pas ce message, il est vain de vous
l’expliquer...
C’est un avis comme un autre.
Si vous parlez de cette capacité à faire le bien et le mal, de construire ou bien détruire, c’est un pouvoir que chaque être sur cette planète possède.
Nous ne sommes pas plus divins qu’une jument ou une fourmi.
Si c’est d’un point de vue spirituel, rien ne nous permet de l’affirmer car le spirituel n’est pas quantifiable et encore moins une preuve.
Et même si c’était vrai, cela n’aurait aucun sens car, tenté que Dieu existe bel et bien, le seul pouvoir qu’ils nous a réellement donné est probablement notre « libre arbitre ».
Mais notre nature profonde est souvent trop forte et s’oppose à notre capacité de réflexion/logique, ce qui nous entraîne dans un schéma destructeur dans la plupart des situations. Encore plus lorsqu’on parle de survie...