"Aujourd’hui cette prise de conscience de la dangerosité du délire [...] est longue à
venir.«
Ne comptez pas qu’elle vienne un jour pacifiquement en France.
Pourquoi ? Parce que les personnes jouant un rôle actif dans cette hystérie sont parfaitement conscientes qu’il s’agit d’un délire collectif mais elles sont mues par la vénalité. Alors que les victimes, elles, paralysées par la crainte, affichent une soumission totale.
Ne comptons pas sur un sursaut rationnel ou compassionnel de la part de ceux-là même qui ont contribué à propager et à l’entretenir le délire collectif : ceux qui nous gouvernent, la quasi totalité des politiques, les experts et conseillers médicaux de tout poil qui abondent dans le même sens, tous attendent le »retour d’investissement« et comptent bien se faire des couilles en or à court terme, c’est-à-dire dès que le vaccin sera administré à grande échelle et que BigPharma distribuera les récompenses.
Quant aux journalopes qui savent tout mais ne disent rien, aux soignants qui déforment la réalité (plus personne ne meurt de vieillesse, de pneumopathies ou de crise d’asthme aiguë en France, tout le monde meurt du Covid, ça fait grimper les chiffres !), au-delà des primes, ils ont peur d’être »remerciés"...
Tant que les citoyen(ne)s ne se révolteront pas, le dictateur pourra continuer à racketter les promeneurs, à détruire des milliers d’emplois et de commerces (ces petites entreprises dont on ne peut pas être actionnaire ne présentent aucun intérêt), à multiplier les contraintes insupportables grâce à ce petit jeu sadique et pervers consistant à voir jusqu’où il peut aller trop loin...