@alinea
Le monde peut s’écrouler, c’est pas pour autant que je renonce à la raison, et que je vais prendre ce populiste pour un sauveur. Trump ? Un type dans la continuité de Berlusconi., lui même dans la filiation de Mussolini adoubé par Toto, et Toto Rina !
« Bunga bunga... »...
Je me souviens de 2008. Obama. J’étais en Italie. A Venise c’était l’aqua alta, et la grande bérézina de l’économie.... La bourse avait les pieds dans l’eau. J’ai traversé toute l’italie du nord sous les trombes d’eau. Ca n’en finissait pas. J’ai remonté ensuite les cévennes, la flotte toujours.. Obama avait été élu. On était quand même content, même si le monde n’allait pas changé, mais on faisait semblant d’y croire un peu. Au moins la gueule du médecin n’avait pas la gueule du docteur Mengele, ou Mabuse. On n’avait pas envie de s’enfuir de l’hôpital. Les films ne tiennent debout parfois que par la grâce de leurs acteurs.
Pour le moment on n’est pas trop à plaindre, covid ou non on reste chat perché. Je vois que vous revenez à vos mantras magiques. Les grands paranos. Bachar et Trump. Banga banga. Ils niquent et les peuples adorent ; Ils se croient dans la tête de leur maitre, se font commissaire du peuple, dictateur par procuration. On se soigne comme on peut. Vous c’est les paranos, et les chevaux. Moi c’est le vélo et la peinture, et d’autres choses qui tiennent à l’aquarelle de la vie. N’attendez pas de ces lignes plus de vérités que les paroles de leaders qui vous étourdissent. Ils sont faits de la morve des nuages et de l’air du temps.