Les sauts de ligne avaient sauté.
@popov. Bin, tout au long du cursus nous avons été sélectionnés sur notre inoxydable obéissance aux pires absurdités :
Etage 1 : nombre + nombre * nombre = grandeur physique.
Incohérence systématique des formalisations d’apparence mathématique.
D’où du reste de nombreuses gourandes lors des changements de base ou d’unités.
Etage 2 : confondre composantes et coordonnées.
Si on soulève une poutre avec deux élingues, chacune des forces appliquées par chaque élingue est une composante de la force totale soulevant la charge. Que j’exprime ces forces en coordonnées cartésiennes, en cylindriques, ou en sphériques, ou en rectangulaires à la manière des aviateurs, en mètres horizontalement et pieds verticalement, les coordonnées restent des coordonnées, homogènes ou pas, et pas des « composantes ». Là encore, cette ruse pour une inexactitude maximale est une victoire de l’Empire Britannique sur le reste du monde : ne surtout pas distinguer une grandeur physique d’un nombre.
Boarf ! « Un vecteur n’est qu’une liste de nombres ! ». Une liste sans aucune règle de syntaxe ni de cohérence...
Etage 3 : le coup du « produit vectoriel ».
Revoir le sujet de bac scientifique à Pondichéry en 2012 :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/les-plus-beaux-loupes-de-l-212926
Ah ! La puissance de l’Empire Britannique !
Je passe sur l’étape 4, qui ne concerne pas cet homme :
Etage 4 : Les absurdités systématiques de la narrative Göttingen-København.
Jusqu’aux années soixante, les géologues devaient obéir à une autre truffe : le coup du géosynclinal, protéiforme.