une conclusion sans équivoque personne ne pourrait être vacciné contre son gré, c’est important de le savoir !
AVIS 106 du Comité Consultatif National d’Éthique du 5 février 2009 «
Questions éthiques soulevées par une possible pandémie grippale »
VI. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS (page 19 à 21)
Le contexte, quel qu’il soit, ne peut modifier les valeurs éthiques. La
situation d’urgence contraint seulement à les hiérarchiser
provisoirement.
(…) Dans les cas où, par défaut d’information ou conduites
individualistes, les valeurs d’autonomie et de solidarité entreraient en
contradiction, la priorité devrait être donnée à l’exigence de
solidarité. Le droit au refus de soin devrait être pondéré par le devoir
prioritaire de ne pas être contaminant pour son entourage.
(…) 4. Enfin, l’état d’urgence sanitaire ne saurait justifier, sauf
circonstance d’une exceptionnelle gravité, le sacrifice du respect de la
vie privée des personnes et de la confidentialité des informations
afférentes à leur santé.
Paris, le 5 février 2009
https://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/publications/avis_106.pdf
Le « sauf circonstance d’une exceptionnelle gravité »… n’est pas et
n’a jamais été constitué pas plus qu’un état d’urgence sanitaire
abusivement décrété sur la base de 48 morts au 11 mars dont 33 avaient
plus de 75 ans. Une pandémie par définition ferait beaucoup de morts, et
ce qui n’est pas le cas…
Quant au « respect de la vie privée des personnes et de la
confidentialité des informations afférentes leur santé », il faudra
veiller à ce qu’elle soit respectée, c’est un point déontologique qui ne
supporte pas de concession.