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Commentaire de Étirév

sur Un document de la CIA explique comment promouvoir les guerres et pourquoi l'État profond est hostile à Trump


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Étirév 18 décembre 2020 03:27

« Un document de la C.I.A. explique... »
Naïveté, quand tu nous tiens !

Les USA ne sont plus depuis le début du XXème siècle, au mieux, gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres. Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale ou banque centrale américaine, la « FED », est née, en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; menées auxquels les intérêts Rothschild, notamment via le banquier Warburg, n’étaient pas étrangers.
Rappelons que depuis le XVIIIème siècle, siècle des « révolutions », les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
L’une des méthodes employées depuis plus d’un siècle par ces escrocs économiques pour faire, notamment, de la guerre un « business », et accroitre leur mainmise sur la planète est le « casus belli » : 1898 avec le Maine, 1915 avec le Lusitania, 1941 avec Pearl Harbor, 1964 avec les incidents du golfe du Tonkin, 2001 avec le « 9/11 », etc.. Iran, the next ?
Précisons à propos de la « FED » que trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette banque centrale : Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor. Ils périront dans le naufrage du Titanic... en 1912.
Le Roman de la guerre de sécession :
La guerre de Sécession, qui n’a réglé aucun des problèmes américains et surtout pas la question noire (on peut aisément s’en apercevoir encore actuellement).
Aussi, nous aurions tort de réduire ce conflit Nord-Sud à une lutte simpliste, c’est-à-dire entre adversaires et partisans de l’esclavage, ainsi que les « vainqueurs » tentent, par tous les moyens de nous le faire croire depuis des années. Rappelons simplement que l’étendard de la Confédération, le Stars and Bars, comportait treize étoiles représentant chacun des douze états du Sud, la treizième correspondait à la nation indienne constituée par la totalité des tribus qui, en quelque sorte, étaient venues chercher refuge auprès des « affreux esclavagistes » du Sud, afin d’échapper au génocide des « généreux libérateurs » Nordistes.
Les indiens d’Amérique avaient compris que les « Yankees » représentaient avant tout et par-dessus tout, une civilisation mercantile basée sur le profit à n’importe quel prix : la civilisation « rapace » de l’aigle pygargue, devenu depuis l’emblème national des USA.
Faisons remarquer, en passant, que le sigle du Dollar n’est pas un « D » mais un « S ». Ce « S » est barré de deux traits verticaux : n’y aurait-il pas là une allusion à peine voilée aux colonnes du fameux Temple de « S », celui du veau d’or, et à ses non moins fameux « marchands » ?
USA, gloubi-boulga ethnique et fausse nation mais vrai sattelite artificiel de la City et de sa finance apatride chassé par la porte par le roi Edouard Ier, mais revenue par la fenêtre avec le fourbe Oliver Cromwell.
Origine de la finance apatride et supranationale


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