@nono le simplet
Aux alentours de l’an Mille, je crois me souvenir que lors d’un réajustement des calendriers, des foules avaient manifesté, car ils estimaient qu’on leur avait volé un jour de leur vie.
Ainsi beaucoup continuent à prendre les apparences, et les pancartes pour une réalité, croyant que les instruments qui ont été crée pour leur faciliter la vie, et ne pas perdre le nord étaient des réalités tangibles.
Je pense que tu parles de la nouvelle de Poe, « le masque de la mort rouge », rythmée par une horloge qui sonne les heures, dans une salle de bal, ou va intervenir un tiers masque représentant la mort. La grande habileté de Poe est de laisser le texte libre d’interprétation, ne le concluant jamais .
Me vient à l’esprit un roman de Leo Perutz, auteur oublié mais prodigieux, et qui joue énormément avec le symbolique. Un roman « le tour du cadran », https://bit.ly/3h1S1iU a eu des éléments qui ont été pique par Hitckock, comme cette scène des menottes dont le héros ne peut se défaire, ce qui amène avec la loi des contraintes, qui sont celles aussi du temps, à des situations coquasses. Chez Perutz, on n’échappe pas à son destin.
Brillant mathématicien, amateur de la théorie des jeux.
Il parviendra tout de même à se tirer d’Autriche dans les années 30, pour israel. . Mais comme dans un de ces livres, il sera dit qu’il mourra en Autriche. Ou il est venu faire du ski...Un type digne du courage que beaucoup de ses héros affirme dans ses romans tel « le cavalier suédois » qui est un chef d’oeuvre....En 14, il est blessé sur le front Est . Il est opéré, à sa demande, sans anesthésie, et jette les deux côtes qu’on lui enlève à un chien, qui n’y touche pas.