@Francis
« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux… »
10 DÉCEMBRE 2020
Klaus Schwab est né dans
l’Allemagne nazie en 1938. On dispose de peu d’informations sur son
éducation – c’est-à-dire sur la mesure dans laquelle il a été éduqué
pour croire à la doctrine nazie – mais quoi qu’on lui ait enseigné dans
sa jeunesse, il est aujourd’hui l’un des plus fervents partisans du
régime totalitaire.
Le terme « nazi » fait référence au Nationalsozialistisch, ou « national-socialisme »,
et son concept général était le fascisme – un concept qui englobait un
système économique corporatiste, un système politique socialiste et un
régime totalitaire.
Bien que cette description
puisse sembler assez alambiquée, le concept était considéré par Wall
Street et une grande partie du gouvernement américain dans les années
1930 comme la voie de l’avenir. À tel point qu’ils ont apporté un
soutien financier et logistique considérable à l’Allemagne nazie pendant
les années 1930 et même dans les années 1940.
Les concepts de base sont pérennes dans leur attrait pour ceux qui cherchent à dominer :
- Créer une classe supérieure de ceux qui sont très bien placés dans l’industrie et la politique.
- Paralyser la classe moyenne sur
le plan économique, de sorte qu’elle n’ait plus le pouvoir de prendre
ses propres décisions de vie.
- Offrir une dépendance considérablement accrue à l’égard de l’État pour soulager les difficultés économiques créées par l’État.
- Supprimer les libertés, en échange de la promesse de largesses de la part de l’État.
- Instaurer un État policier et un régime totalitaire pour garantir la pérennité du nouveau paradigme.
- Une fois que les contrôles
seront pleinement mis en œuvre et que la population sera devenue
dépendante du nouveau système, commencer à supprimer les droits promis.
L’idée qui sous-tend ce dernier
point est que, lorsque la population sera totalement dépendante de
l’État, elle aura perdu le pouvoir de s’opposer ou de se rebeller si les
droits sont supprimés. Elle est alors totalement dominée.
Bien sûr, si quelqu’un lisait le menu ci-dessus, il dirait immédiatement « Pas question » et
rejetterait le programme. Par conséquent, si un régime aussi oppressif
devait être imposé à un peuple, il faudrait le lui vendre comme un
avantage, et non comme un esclavage virtuel. »
Adolf Hitler était fier de dire : « Faites un gros mensonge. Restez simple. Continuez à le dire et ils finiront par le croire. »