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Commentaire de Jonas

sur Le premier couple glamour de l'Histoire


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Jonas Jonas 26 décembre 2020 11:58

@binary « Une idéologie est une religion. C est même la définition. »

Quand on parle de religion, on fait référence au Divin et aux forces surnaturelles. Le stoïcisme, ou l’épicurisme par exemple sont des idéologies mais ne peuvent pas être considérées comme des religions.

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« La révolution française ne c est pas faites par des athées contre une religion, mais une manipulation de la population par des gens qui compris comment il fallait faire. »

La révolution française c’est la volonté par les franc-maçons d’abattre la monarchie de Droit Divin : seul l’homme doit être le guide sans aucune entrave ni aucune limite, afin de s’abstenir de toute morale et de toute éthique (d’où les droits de l’homme« ), bref supprimer l’autorité divine.
Les USA, premier état maçonnique au Monde, avaient précédé la France par la révolution, symbolisée dans la fresque du dôme du Capitole, temple maçonnique à Washington, siège du Congrès (l’équivalent, très grossièrement, de notre Assemblée Nationale), représentant la puissance du pouvoir de l’homme, mis en valeur par le président George Washington prenant la place de Dieu.
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 »La religion n est qu un outil de prise de pouvoir. Le marxisme, le communisme, le socialisme, le financiarisme, le verdouillisme, et le pandémitisme en sont des parfait exemples.« 

Je vous accorde cependant qu’on ne peut pas vraiment parler d’idéologie athée pour le marxisme et le communisme que relèvent plutôt du satanisme : la volonté de détruire la beauté de l’oeuvre divine pour asservir l’humanité au matérialisme.

Marx embrassait le satanisme dans sa jeunesse, l’idéologie marxiste et communiste en sont directement inspiré. Par exemple dans son poème »Oulanem« , Marx inverse un nom sacré ; c’est l’anagramme d’Emmanuel, nom biblique de Jésus qui signifie en hébreu »Dieu est avec nous« . De tels noms inversés sont typiques des cultes sataniques. Quelques extraits :
 »S’il y a quelque chose capable de détruire,
Je m’y jetterai à corps perdu,
Quitte à mener le monde à la ruine.
Oui, ce monde qui fait écran entre moi et l’abîme,
Je le fracasserai en mille morceaux
A force de malédictions ;
J’étreindrai dans mes bras sa réalité brutale,
Dans mes embrassements il mourra sans un mot
Et s’effondrera dans un néant total,
Liquidé, sans existence :
Oui, la vie, ce sera vraiment cela !« 

 »Perdu. Perdu. Mon heure est venue.
L’horloge du temps s’est arrêtée,
La maison pygmée s’est effondrée.
Bientôt j’embrasserai sur mon sein l’éternité,
Bientôt je proférerai sur l’hu
manité
D’horribles malédictions.« 

Marx livre à la damnation toute l’espèce humaine.

Dans »Le ménestrel« , Marx nous dévoile sa conversion au satanisme :
 »Les vapeurs infernales me montent au cerveau
Et le remplissent jusqu’à ce que je devienne fou
Et que mon cœur soit complètement changé.
Regarde cette épée :
Le Prince des ténèbres me l’a vendue.« 

L’homme n’est plus tourné vers la spiritualité, la recherche du beau, la contemplation, la connaissance, la charité, mais devient un »prolétaire« , un vulgaire outil employé par l’industrie de masse. C’est uniquement dans cette optique qu’il doit être considéré et valorisé. Le »prolétariat« doit renverser par la violence, l’ordre Divin.
 »Si le prolétariat, dans sa lutte contre la bourgeoisie, se constitue nécessairement en classe, s’il s’érige par une révolution en classe dominante, et comme classe dominante, détruit par la violence l’ancien régime de production, il détruit, en même temps que ce régime de production, les conditions de l’antagonisme des classes ; il détruit les classes en général et, par là même, sa propre domination en tant que classe.« 
 »Les communistes ne s’abaissent pas à dissimuler leurs opinions et leurs projets. Ils proclament ouvertement que leurs buts ne peuvent être atteints que par le renversement violent de tout l’ordre social passé. Puissent les classes dirigeantes trembler à l’idée d’une révolution communiste ! Les prolétaires n’ont rien à perdre que leurs chaînes. Ils ont un monde à gagner."
Karl Marx - manifeste du parti communiste

La dictature du prolétariat de Karl Marx a provoqué la mort de centaines de millions de personnes, femmes, enfants, vieillards en moins d’un siècle, dans des conditions tellement atroces, que même les historiens aujourd’hui ont dû mal à décrire ces horreurs. C’est l’oeuvre du Diable.


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