Aux Lecteurs.
Vaccins : selon Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS Ile-de-France, « on bascule dans une défiance »Le directeur général de l’ARS Ile-de-France, Aurélien Rousseau, était
invité sur RTL ce lundi. Il a répondu à de nombreuses questions sur la
pandémie de Covid-19 et sur la stratégie vaccinale. Aurélien Rousseau
regrette la défiance des Français face au vaccin. Le directeur général
de l’ARS Ile-de-France a tenu à rappeler que ce dernier « est l’un des
leviers les plus puissants pour maîtriser cette épidémie. C’est un acte
individuel, mais c’est aussi un acte de protection collective ».
Dimanche 27 décembre à Sevran, Mauricette, 78 ans, a été la première
Française à recevoir une dose du vaccin Pfizer contre le coronavirus.Aurélien Rousseau a tenu à préciser que le choix du gouvernement
français est de prendre « tout le temps nécessaire au recueil du
consentement libre et éclairé » :« On veut installer la confiance en discutant avec les gens. On leur
présente les éléments et ils décident s’ils se font vacciner ou pas ».Selon un baromètre publié par la rédaction du JDD, la France figure
dans les dernières places des pays cités à accepter la vaccination.Selon Aurélien Rousseau, « les interrogations et les doutes c’est
naturel et c’est sain, mais là on bascule dans une défiance. […] Toutes
les procédures ont été respectées, toutes les étapes. Le suivi des
effets indésirables est connu, il est public. Ce sont des dossiers de
dizaines de milliers de pages qui ont été rendus par toutes les
autorités sanitaires du monde ».Publié le
28/12/2020 - 10:39 Vu sur :
RTL
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Covid-19 : un registre des personnes refusant d’être vaccinées sera instauré en Espagne
Nicolas59
- 29/12/2020 - 09:16
Boniments ce bureaucrate
Un dirigeant d’une bureaucratie Etatique qui nous
explique que nous avons tort de manquer de confiance dans l’annonce d’un
vaccin miracle développé en 8 mois . L’ARS qui a été défaillante
s’autorise à nous donner des injonctions alors qu’elle est incapable de
se reformer elle même après ses fourvoiements. Ils ne sont pas capable
de dire si le vaccin immunise si bien que cela et laissent entendre
qu’en fait on resterai porteur asymptomatique capable de contaminer
autrui. Les effets secondaires restent en bas bruit pour le moment. En
fait bien des choses restent à découvrir chez les premiers cobayes .J
J’accuse- 28/12/2020 - 15:42
Vaccinez-vous, vaccinez-vous, qu’ils disaient
On s’en fout « des dizaines de milliers de pages » que
personne n’a lues, toutes plus bidon les unes que les autres. Il faut
un recul de 2-3 ans pour connaître les effets indésirables, et on a de
gros doutes sur leur officialisation quand ils seront connus.
Qui a fait basculer l’opinion publique dans la « défiance » ? Ce sont les
autorités politiques et sanitaires en disant tout et son contraire, avec
des décisions incohérentes souvent et jusqu’à l’absurde quelquefois.
La confiance dans les labos... ne nous faites pas rire !
gerint
- 28/12/2020 - 14:03
Tous ces milliers de pages ne servent pas à grand chose
Pour prévoir des effets secondaires sur des millions
et a fortiori des milliards d’individus, et pour évaluer les effets à
long terme. Face a une maladie quand même peu risquée pour une grande
partie de la population, et face au scandale retentissant de plusieurs
affaires en thérapeutique malgré des autorisations de mise sur le marché
tout-à-fait légales on peut comprendre les hésitations. Au minimum, on
peut comprendre que les gens ne soient pas pressés. En plus, les labos
même en plutôt l’air de croire que la transmission ne sera pas pour
autant arrêtée. Donc la visée altruiste et des plus incertaines. De
toute façon, je connais peu de gens assez idéaliste pour se vacciner
sans intérêt avant tout pour eux-mêmes, et au maximum pour leurs proches
directs (coqueluche pour approcher des nouveaux-nés par exemple).