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ici, ce n’est pas le personnel qui est mis en cause, mais les responsables de ce personnel, car il ne peut pas être invoqué l’ignorance ou l’incompétence, puisque les limites des masques chirurgicaux sont parfaitement connues.

Comme le rappelle eau-du-robinet dans l’article, seuls les masques de types FFP2 et FFP3 sont efficaces pour stopper les postillons de types aérosols inférieurs à 3 microns. Aussi, le fait que le personnel ne porte pas ces masques lorsqu’ils sont en contact avec les résidents ne peut relever que de l’acte délibéré, celui de laisser le virus circuler tout en faisant mine de faire le contraire par des mesures excessives envers les visiteurs, dont la majorité sont absurdes.

De fait, le meilleur moyen d’éviter la contamination par voies aérienne consiste essentiellement à contrôler le système de ventilation, c’est à dire, un flux d’air constant de bas en haut, de telle sorte que le virus soit constamment aspiré et donc, retiré de l’air ambiant et ne pouvant dès lors pas se déposer sur les objets.

L’absence d’une mesure aussi simple qu’efficace à mettre en oeuvre dans des lieux dédiés est une preuve supplémentaire que le but n’est pas de stopper le virus, mais de s’en servir pour conditionner les gens et les préparer à entrer dans un système ultra surveillé et où ce sont les citoyens eux mêmes qui demanderont à l’être. D’autres raisons motivent la politique du pompier pyromane.

Personnellement, le problème n’est pas un tel système de veille, mais de savoir qui en a le contrôle et dans quel but. Pour donner un exemple, personne ne considère être surveillé par ses ami-es, mais uniquement par ses ennemies. Les premier pour vous élever, les seconds pour vous rabaisser, soumettre ; Car en société, la liberté ne consiste en aucun cas à vivre caché, mais tout le contraire, vivre en plein jour. La preuve en est que seuls les criminels et les gouvernements criminels considèrent le secret comme essentiel à leur propre liberté d’action. C’est ainsi que le conseil des ministres est secret, qu’il il y a des secrets d’Etat et des services secrets, des secrets d’affaires, pour commettre des crimes en toute impunités