@devphil30
Bah ! Après tout, je ne sais pas qui sont les néo-négationnistes.
Ce sont peut-être ceux qui nient l’efficacité des traitements connus contre les virus, et qui nient aux médecins leur liberté de prescrire, je bveux parler des vaccinologues. Et puisque je suis ici à cause d’une citation, en voici une autre :
« Si le seul outil que vous avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un clou » Abraham Maslow (The Psychology of Science, 1966)
Cet aphorisme appelé ’Marteau de Maslow’ illustre ce qu’il a défini comme la Théorie de l’instrument : tentation qui consiste à travestir la réalité d’un problème en le transformant en fonction des réponses dont on dispose, ou encore le fait de considérer qu’il n’y a qu’une réponse unique à tous les problèmes.
Personnellement, mais je ne suis qu’un candide en a matière, je pense que le problème de l’hydroxychloroquine vient de ce qu’il est un ionophore du zinc c’est-à-dire un anti-chélateur, et que nombre de médicaments aujourd’hui sur le marché ou au stade de la recherche sont des chélateurs, autrement dit des anti-ionophores.
Je crois aussi que les ’vaccins’ à ARNm ne sont pas comme on l’a répété ici, moi le premier, des thérapies géniques mais au contraire, des anti-thérapie génique
en ce sens que les ARN des « vaccins » sont le mal introduit dans un
organisme sain cependant que les ARN utilisés en thérapie génique sont le bien
introduit dans un organisme malade.
« La thérapie génique
est une méthode consistant à introduire des acides nucléiques (ADN ou
ARN) dans les cellules d’un organisme pour y corriger une anomalie,
comme une mutation, à l’origine d’une pathologie. Il s’agit souvent
d’apporter un gène normal et fonctionnel (transgène) dans une cellule où
le gène présent est altéré. Une autre méthode peut amener de l’ARN
capable de réguler ou bloquer partiellement l’expression d’un gène
altéré. »
On en est loin avec ces pseudo vaccins qui posent de nombreuses questions parmi lesquelles les mutations de virus, les maladies auto-immunes, les stérilités féminines, etc.