Rappels :
— La surmortalité ponctuelle de mars avril, était due au refus de soins dans les ehpad. Vu la date, elle n a quasiment pas d incidence dans la stats long terme de fin d année.
— la surmortalité d’octobre, avait pour cause la sur-vaccination à la grippe qui a détruit les défenses immunitaires de patients déjà faibles les condamnant de fait. Cette surmortalité se retrouve forcément sur des stats arrêtées à fin décembre.
Si l on fait une courbe lissée sur quelques mois (6 mois par ex) de la mortalité, (moyenne mobile) , on ne verra plus ces variations ponctuelles, mais seulement l influence d une maladie qui n a que peu d effets, et c est substituée aux autres dans les stats.
Reste le problème statistique de l évaluation des conséquences de la politique de mort, sur les autres maladies devenues non traitée et donc plus grave : crise cardiaques , cancers, et évidemment suicides.
Le fait de dénombrer que ponctuellement, il y a plus ou moins de morts, ne donne aucune indication sur la cause. Mais comme on connait la mortalité du covid en cas de prise en charge du malade, il n y a pas de question sur la cause de surmortalité. Cette cause est la politique du gouvernement et rien d autre.
Les conséquences néfastes d une politique servent de justification à cette politique. C est exactement la même méthode de discours que quand on condamne la victime comme cause du crime.