20 janvier 2020 : Ce qui s’est passé au Capitol le 6
janvier dernier n’était pas surprenant du tout et ce n’était pas une
insurrection, selon Diana Johnstone, grande journaliste américaine basée
en France. En effet, l’establishment démocrate voulait que ça se passe
comme ça pour mieux faire de Trump un repoussoir, un bouc-émissaire, un
méchant afin de asseoir solidement son pouvoir et de se donner l’image
de sauveteur de la démocratie.
« Tout à fait prévisible » dit
Johnstone, qui l’a prévu dès août 2020 après avoir lu un document du
Transition Integrity Project, un organisme bipartite de l’élite
politique américaine. À titre d’exemple, les dirigeants démocrates ont
alimenté Trump et l’ont provoqué pour qu’il crie au vol notamment
concernant le vote postal. Plus Trump soulevait l’éventualité d’une
fraude électorale, plus les Démocrates insistaient pour imposer le vote
postal.
De plus, la défaite de Trump n’était pas suffisante ; Ils
voulaient quelque chose qui excite, qui ressemblerait à un changement de
régime ? Alors que de changement de régime, il n’y en a eu point ! Ce
sont les centristes autoritaires qui demeureront au pouvoir ; par
ailleurs, selon Diana Johnstone, Trump n’a jamais réussi à les écarter.
Elle
trouve ridicule l’utilisation du mot « insurrection » et invite les
gens à revoir les films du renversement de Salvador Allende au Chili le
11 septembre 1973.
Et Biden parle de plus en plus comme le « War
President » à la tête du « American War Party », and un États-Unis qui
veut se réimposer comme leader mondial.
voir l’article de Diana Johnstone : consortiumnews.com/2021/01/11/bide…-capitol-gains/