Commentaire de anna
sur Empoisonnement d'Alexandre Navalny : Les preuves fantômes de « The Lancet »
Voir l'intégralité des commentaires de cet article
@jjwaDal
Il est tellement « populaire » en Russie, que un mec s’approche facilement et lui jette un antiseptique vert dans le visage.
https://www.youtube.com/watch?v=OjPuqP276Ho&feature=emb_logo
Alors trouver un sdf fortement alcoolisé, pour lui donner un coup de marteau sur la tête, est simplissime pour le FSB
Derniers commentaires
-
24/01 18:33 - Laurent Courtois
@V_Parlier Cela explique, que je ne connaisse même pas le prénom de Navalny, j’ai écrit (...)
-
23/01 20:24 - V_Parlier
@Laurent Courtois En effet, ils peuvent nous sortir un nouveau déjanté chaque année en le (...)
-
23/01 15:49 - Laurent Courtois
On vient de me faire remarquer que le prénom de Navalny n’était pas Alexandre mais (...)
-
22/01 17:22 - roby
@Laurent Courtois C’est comme si Carlos Goshn s’était plaint que les nippons (...)
-
22/01 16:24 - Samson
@Olivier Perriet « Pourquoi emprisonner un type « insignifiant » dès qu’il met le pied (...)
-
22/01 15:51 - anna
@jjwaDal Il est tellement « populaire » en Russie, que un mec s’approche facilement et (...)
Articles les plus lus
- Un rayon chaud d’uranium traverse le ciel… FIN !
- Il y a 100 ans : la révolte des Penn Sardin
- La dette de 3000 milliards ! On nous fait peur mais...
- Le soutien à l’Ukraine est la plus grande arnaque visant à diviser le pays entre entreprises
- Nicolas Sarkozy en agent de recrutement des enseignants
- « Gladiator 2 », daube ou grand film ?
- Ukraine : l’essentiel est de maintenir le pouvoir et de sauver sa peau
- La BIBLE : USURPATIONS et Emprunts - (Partie II)
- Contre la rebaptisation de la place Stalingrad en place de l’Ukraine à Bordeaux
- Boualem Sansal : Philippe Val et l’honneur de la gauche républicaine
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération