@Iris

Merci.

Avez-vous visonnée les liens ?

Bien sûr que les africains peuvent être autonomes sur le plan alimentaire, mais en plus, nourrir aussi toute la planète avec des produits BIO, la preuve est dans les liens que je vous ai envoyé.

Les conditions climatiques sont plus favorables en Afrique qu´en France, bien sûr il ya des endroits désertiques, mais même le désert peut être fleurit, il suffit d´y apporter l´eau, et, un l´a fait le Guide KHADAFI de Lybie.
Ce visionnaire a fait presque l´impossible en initiant un tel projet PHARAONIQUE, apporter l´eau au désert, malheureusement, l´EMPIRE va le tuer car il devenait dangereux pour l´EMPIRE en initiant de tels projets qui rendent les personnes Autonomes, cela, l´EMPIRE ne le supporte pas.

https://youtu.be/SuuuygYuvCQ

" Ce projet pharaonique consiste à transférer les eaux fossiles des bassins sédimentaires de Libye orientale et du Fezzan vers la côte, c’est-à-dire sur une distance qui varie entre 400 et 800 kilomètres. Il est prévu qu’en phase finale, six millions de m3 soient pompés par jours, soit plus de deux milliards par an.(83) Ce débit paraît colossal mais correspond finalement au débit d’une rivière moyenne en Europe telle que l’Aveyron. La réalisation du projet est étalée sur vingt-cinq ans (1985-2010) et divisée en cinq phases.

Son coût est estimé entre 25 et 30 Milliards de dollars, donc environ 1 Milliard de dollars par an. Cependant, ce budget, qui ne représentait « que » 5% des ressources pétrolières en 1983, pèse aujourd’hui lourd sur les finances libyennes avec la chute du prix du baril au milieu des années 1980. (84) Le contrat pour la première étape (G. R. A. 1) a été signé fin 1983 avec la société sud-coréenne Dong Ah.(85) Il portait sur la réalisation de 1900 kilomètres de canalisations dans la Tripolitaine.(86) Cette première phase a été terminée en 1991. La deuxième phase a été terminée en 2001 par la même société et portait sur la Cyrénaïque. La troisième phase, échevée en 2005, a permit de raccorder les deux branches principales du projet. Les autres phases, en cours, permettent de développer les captages plus au sud."