@Attila
Il s’agit d’adultes, mais de salariés qui portent plainte contre leur
employeur pour harcèlement. L’image de promoteur d’un programme social
en prend un coup.
C’est votre avis, ce n’est pas le mien. Pour moi il s’agit d’une opération politique fabriquée de toutes pièces pour nuire à l’UPR.
—1/ D’abord le moment choisi : quelques semaines après les élections municipales où 2 listes UPR ont fait plus de 10%.
—2/ Ensuite le comportement des membres du bureau qui sont partis en emportant le fichier des adhérents, tout en expliquant qu’ils voulaient « sauver l’UPR ». Quand on veut sauver son Parti, on ne quitte pas le navire.
—3/ Au lieu de s’adresser aux adhérents, directement concernés par l’avenir de l’UPR, ils écrivent à Libération, anti Frexit notoire.
— 4/ Ils se sont servis du listing des adhérents il y a quelques semaines, pour faire de la retape pour leur nouveau Parti « Génération Frexit ».
Si vous trouvez que ces comportements sont normaux de la part de responsables nationaux, c’est votre droit, ce n’est pas le mien.