@Legestr glaz Cela ne tient pas la route. Quel intérêt un Etat aurait-il de voir la moitié de la population atteinte de pathologie mentales graves, ne sachant plus assurer le travail normal nécessaire au fonctionnement d’un pays. La situation est-elle que nombreux préfèrent encore mourir que de continuer à vivre cette vie. Ayant collaborer avec le créateur de la Fédération belge des psychologues, nous avons un aperçu assez clair de l’état mental de la population. Il y avait l’ancienne méthode de typologie des maladies psys de tendance freudienne classique (schizophrénie paranoïa, personnalités dissociées, maniaco -dépression, structure perverse ETATS LIMITES y compris le psychopathes et les caractériels ALEXYTHIMIQUE, très différente de la nouvelle, le DSM ou les pervers narcissiques par exemple ne sont pas présente (bah tant qu’ils ont l’air extérieurement normaux....). Jusqu’en 1985, la prévention était considérée comme majeure et toutes les mesures allaient dans ce sens. Présence des psys dans le crèches qui étaient aussi des laboratoires d’observations du comportement. Dans les planning on avait commencé l’éducation à la parentalité (famille heureuse). Les psychologues avaient autorité et leur avis était important dans la décision de confier une enfant à des parents. Enfin, c’était parti pour le meilleur des monde. Névrotiser et oedipifier les parents et les familles. Essayer de diminuer les cas de psychose. Bien sûr : on a pas tolére cette intrusion. Exemple dénoncer les parents qui avaient de comportment de nature psychotique dans les crèches. Tout cela a été stoppé au nom de la sacro-sainte liberté à vision néo-libérale de la société. Il fallait formaté les futurs robots qui devaient s’intégrer dans le modèle de l’homo-oeconomicus. Ce fut assez facile. Les personnalités les plus fragiles, peu structurée et facilement manipulable s’adaptèrent sans trop de problèmes. Suffisait de suivre les instructions avec le résulta Pavlovien à la clé. Si bien travaillé : crédit hypothécaire, derniers gadgets à la mode (plus beau que celui du voisin). Pas de problème de dépression : tout s’achète. Un coup de blues le Club med... Mais un tel chateau de carte ne pouvait tenir longtemps.... Car tout cela sentait malgré tout le faux bonheur. Pas celui que l’on a choisi, mais qui nous fut imposé. Maintenant voilà que la machine est grippée. On se rend compte qu’on a construit cette société sur un château de sable sans se préoccuper des fondements. C’était prévisible : bien mal acquis ou trop facilement ne profite jamais. C’est le propre de la dépression : le Tonneau des Danaïdes. Oui, de votre point de vue, j’étais rétrograde. Je n’ai pas aimé les crèches (parfois nécessaires). Mais un enfant qui a eu de bonnes bases sécurisantes et constantes est bien plus structuré que ceux qui furent éduqués par du personnel qui souvent changeait de visage. Une mère, c’est constant, un repère essentiel. Et si le père en plus soutient la famille, c’est la garantie d’une personne épanouie. Car pour pouvoir quitter les repères de l’enfance (étape nécessaire) encore faut-il en avoir eu...Vous allez me dire : mais vous ne répondez pas à la question. Ben si : cette catastrophe était prévisible et voilà pourquoi les psychologues savaient quand ils ont voté contre le mariage homosexuel......Espérons si nous survivons que les gens comprendront que le modèle triangulaire oedipien reste le meilleur et que les psychologues, psychanalystes seront enfin sollicités pour les décisions gouvernementales. Tiens ce soir une excellente émission sur ARTE sur la Thérapie...Et que le DSM finira à la poubelle...