Quand je suis parti pravailler à l’ âge de 14 ans,je voulais apprendre un métier,excusez-moi,mais j’ avais la passion,de l’ enhousiasme et de la ténacité,il s’ est trouvé que c’ était un très bon moteur,il a falu bosser dur,pouvez vous imaginer la satisfaction d’ arriver à un résultat tangible après de dures heures de travail ?Ensuite,si on a le gout du bonheur,le sens de rendre les gens heureux autour de soi,on fonce et on récolte automatiquement le fruit de son travail,regardez les jeunes cuisiniers talentueux qui se mettent à leur compte,n’ est-ce pas une belle réussite ? C’ est sur que si vous commencez votre vie professiopnnelle avec des mots comme « exploitation »vous pouvez ajouter « et si j’ attrapais un cancer généralisé »ou alors un météorite pourrait me tomber dessus,même qu’un chauffard pourrait vous écraser,dans ces conditions c’ est mieux de ne sien oser,et finalement,pour les 70 ans que nous avons à vivre,c’ est pas trop la peine d’ essayer,d’ autant plus que la seule fois ou on pouvait réussir ,c’ était pendant les trente glorieuses.Baissons les bras,défilons,les salauds c’ est les autres qui nous exploitent.

Il est une manière très simple de ne pas être exploité,on monte sa propre affaire,et en avant,il faut un ou deux testicules en état de marche,pour s’ imposer et faire son trou.Là non plus on ne vous loupe pas.Mais quel bonheur d’ y arriver.

Le travail c’ est pas de la politique.c’ est l’ exploitation d’ un savoir faire ,acquis souvent de haute lutte,allié à un gestion rigoureuse,mené tous les jours avec une motivation sans faille,doublé d’ un sens commercial important.Fourni dans les délais annoncés.

Se cacher derrière des mots pour ne rien entreprendre est finalement assez aisé.

Allez,bon dimanche et bonne chance à vous.

ROCLA