@Étirév Ce qui est certain, c’est que l’éthique et la justice furent toujours représentées pas des divinités féminines : TH2MIS les yeux bandés. Athéna, le Maât. https://www.google.com/search?q=%5Ema%C3%A2t&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=Tai7aWbGkDkBPM%252CEsQ9gYoE_S1ZbM%252C_&vet=1&usg=AI4_-kR5Kwo1a90Uh4Dz5afNCrZz8uNCPA&sa=X&ved=2ahUKEwjCrfHd1_PuAhXODewKHYSrDjQQ_h16BAgUEAE#imgrc=MIrp_YNN0iiJEM. Question que l’on peut se poser : préférons nous un Dieu bon ou ou juste ? Mais c’est l’opposition entre justice de Dieu et indignité de l’homme qui serait plus importante encore, pour la réflexion théologique. L’homme ne peut atteindre la justice par ses propres efforts, même par l’obéissance à la Loi de l’Ancienne Alliance. C’est la foi en Dieu qui rend l’homme juste. Toute foi en Jésus-Christ peut être comptée pour justice. Car si une certaine chose a été imputée à quelqu’un, la foi était cette chose précieuse — pour la valeur de laquelle l’homme était réputé juste. De fait, elle lui était inhérente. Ainsi peut-on dire bienheureux l’homme auquel Dieu impute la justice. Ses iniquités ont été pardonnées ; ses péchés ont été « couverts ». Il a approuvé le soutien de Dieu — Lequel, en sa royauté, « approuve » sa Créature. C’est donc l’homme à qui Dieu n’a point compté de péché qui serait l’homme juste par excellence. Dieu autrement : Dieu n’est que le conscience, le Surmoi qui permet de juger si une acte est bon ou mauvais. L’athéisme n’est dicté dans ses actions que par la rationalité, le progrès.