Les universitaires islamo-gauchistes , devraient se souvenir , de ce qui est advenu des universitaires iraniens ,qui dans un moment de folie ont soutenu la révolution islamique d’Iran .Et le plus brillant des universitaires français de l’époque , Michel Foucault qui s’est ramassé comme un gland.

Une grande partie des universitaires sont gangrenés par l’islamisme , qui est un poison qui s’infiltre partout. Non pas , par le savoir , les connaissances et la culture, il suffit de regarder dans quel état délabré , se trouve les universités des pays musulmans , sans parler de la situation politique ,économique et sociale. Mais les islamistes utilisent les menaces et la violence, qui sont leurs seules armes dans les pays démocratiques. Ailleurs ils sont soit liquidés soit ils rasent les murs. 

La ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche , Frédérique Vidal ,comme Jean-Michel Blanquer , ministre de l’éducation ont bien raison d’attirer l’attention sur les dérives des universitaires, dont les qualités premières sont les protestations et les pétitions tous azimuts. Mais aveugles sur le reste. 

Les universitaires islamo-gauchistes , sont outrés , par la déclaration de la ministre, mais ont gardé le silence par lâcheté et veulerie , lorsque des manifestants ont contraint l’université de Lille à annuler la lecture théâtrale d’un texte de Charb : « Lettre ouverte aux escrocs de l’islamophobie, »écrite avant son assassinat et celui de la rédaction de Charlie Hebdo. 

Les universitaires islamo-gauchistes, n’ont pas protesté ni pétitionné , lorsque une dirigeante de l’UNEF dûment voilée , aidée par des gros bras , ont interdit à la Sorbonne une pièce d’Eschile , parce que des acteurs blancs portés des masques noirs.

Les universitaires islamo-gauchistes , n’ont pas été choqués lorsque des philosophes , comme Sylviane Agacinski , est interdite de donner sa conférence à Bordeaux-Montaigne et forcer l’université à annuler la conférence.

Les universitaires islamo-gauchistes , ces sont tus lorsque Mohamed Sifaoui , a été obligé d’annuler son intervention à l’université de Panthéon-Sorbonne.