Les virus ne nous font pas la guerre, ils se font la guerre entre eux. Les gagnants dans cette bataille ne sont pas les plus virulents pour nous, puisque notre système immunitaire les a apprivoisés. Les « gestes barrières » ne sont efficaces que contre ceux-là, mais pas contre les plus virulents. Les gestes barrières sont contre-productifs.
extrait :
« Une véritable novlangue
a ainsi été créée à l’orée de la pandémie de coronavirus. Le terme
anglo-saxon « cluster » remplace notre terme français « foyer », permettant
de lui adjoindre une aura plus mystérieuse. Les mots « confinement
/déconfinement » ont débarqué de nulle part dans notre néo-vocabulaire
sanitaire, apportant une nuance de châtiment collectif.
Les résultats virologiques positifs, qu’ils soient confirmés vrais ou
faux, qui concernent des personnes saines, asymptomatiques ou malades,
deviennent de façon indifférenciée des « cas » dont le nombre « explose ».
Les contestataires de la théorie officielle « alarmiste » sont estampillés
avec dédain par le sobriquet « assuristes ». Le pistage des clients des
bars et restaurants, ainsi que les applications mobiles de traçage des
contacts, sont les instruments de Big Brother. Le principe n’a pas
changé : plus on réduit les finesses du langage et plus on accentue la
surveillance, moins les citoyens sont capables de réfléchir et de
contester, ne raisonnant plus qu’avec les réflexes archaïques de leur
cerveau reptilien (peur, survie, manger, dormir) »